Posted on August 31, 2018 by Frannie and Kisa Rogers
Our Cree language and culture are inseparable because language is the basis of our culture. If culture is to be considered in Indigenous Education in any real way the specific region and language of that region must always be the basis of the content being incorporated and taught. Over the years she has gathered and […]
Our Cree language and culture are inseparable because language is the basis of our culture. If culture is to be considered in Indigenous Education in any real way the specific region and language of that region must always be the basis of the content being incorporated and taught. Over the years she has gathered and earned knowledge through direct experiences. Direct experiences in a traditional lifestyle and academic as a student and teacher of the Cree language and culture All her work is aimed at being able to share skills and knowledge of the Cree culture to support people in the knowledge, skills and abilities needed to know who we are as a Cree people. All learning cycles are about the community over the individual ultimately and we must learn about ourselves and who we are as Cree people and share whatever we can back with our communities.
Posted on by Catherine Charest
Le Chemin des Mille Rêves, Puamun Meskenu, est une organisation créée par Dr Stanley Vollant qui oeuvre, depuis 2016, à développer les quatre dimensions du mieux-être des jeunes autochtones, soit les dimensions mentales, physiques, émotionnelles et spirituelles. L’organisation du Chemin des Mille Rêves fut fondé après que Dr Vollant ait parcouru, à la marche, près […]
Le Chemin des Mille Rêves, Puamun Meskenu, est une organisation créée par Dr Stanley Vollant qui oeuvre, depuis 2016, à développer les quatre dimensions du mieux-être des jeunes autochtones, soit les dimensions mentales, physiques, émotionnelles et spirituelles. L’organisation du Chemin des Mille Rêves fut fondé après que Dr Vollant ait parcouru, à la marche, près de 6 000 km « à travers le territoire des premiers peuples » (Le Chemin des Mille Rêves, 2017). L’homme s’est alors engagé à agir pour l’amélioration des conditions de vie et pour la construction ou la reconstruction des Autochtones, c’est-à-dire « [qu’ils] se développent à leur plein potentiel et [qu’ils ]contribuent à leur mieux-être collectif » (Le Chemin des Mille Rêves, 2017). L’organisme Le Chemin des Mille Rêves a pour mission d’inspirer et d’appuyer les Autochtones, particulièrement les jeunes âgés de 25 ans et moins, afin qu’ils développement leur plein potentiel et qu’ils tracent eux-même leur « chemin des mille rêves ». L’organisme oriente ses activités selon une vision holistique que représente la roue du mieux-être utilisée par les communautés autochtones. Cette roue se compose de quatre axes : « – Mental : inspirer les Premières Nations, Métis et Inuits grâce à des modèles de persévérance; – Physique : Améliorer la santé; – Émotionnel : Rassembler les communautés et les générations; – Spirituel : Promouvoir les valeurs autochtones et favoriser une meilleure compréhension interculturelle » (Le Chemin des Mille Rêves, 2017). Selon cette vision, ces quatre axes forment un tout et s’équilibrent. Ainsi, en optant pour cette approche, Le Chemin des Mille Rêves valorise une vision d’ensemble pour ses interventions. Sur le site internet de l’organisme, divers outils pédagogiques sont d’ailleurs offerts et s’adressent aux élèves du primaire et leurs enseignants (http://www.innu-meshkenu.com/fr/les-mille-reves/trousse-pedagogique). Le Chemin des Mille Rêves. (2017). Les mille rêves. Repéré à http://www.innu-meshkenu.com/
This story is not available in English. Please select another language option.
Posted on by Pam Greene
Brenda Morency is an Indigenous full-time student enrolled in her 5th year at the University of Alberta in the Bachelor of Arts in Native Studies combined degree in the Bachelor of Education Secondary route. Brenda’s major is in the Cree Language and her minor is Native Studies. Brenda has studied a number of Native studies […]
Brenda Morency is an Indigenous full-time student enrolled in her 5th year at the University of Alberta in the Bachelor of Arts in Native Studies combined degree in the Bachelor of Education Secondary route. Brenda’s major is in the Cree Language and her minor is Native Studies. Brenda has studied a number of Native studies courses offered through the University of Alberta. Before attending University, Brenda didn’t learn about residential schools or the history of Indigenous peoples until she enrolled in University. Brenda explains how her training has been a learning and healing journey for her. Brenda has studied and learned the Cree Language and is now capable to teach others, even though she isn’t fluent and hopes to focus on this. Brenda has learned the structure of the Cree language, syntax and understands the importance of keeping the language alive.
Posted on August 29, 2018 by Flavie Robert-Careau
Les mini-écoles de la Santé sont un projet initié par le Dr Stanley Vollant et maintenant piloté par Dr. Éric Drouin. Ce projet est issu d’une collaboration entre le Comité interfacultaire opérationnel de l’Université de Montréal, le Comité étudiant interfacultaire de l’UdeM (responsables des activités de formation à la collaboration interprofessionnelle) et le Groupe d’intérêt […]
Les mini-écoles de la Santé sont un projet initié par le Dr Stanley Vollant et maintenant piloté par Dr. Éric Drouin. Ce projet est issu d’une collaboration entre le Comité interfacultaire opérationnel de l’Université de Montréal, le Comité étudiant interfacultaire de l’UdeM (responsables des activités de formation à la collaboration interprofessionnelle) et le Groupe d’intérêt pour la santé des Autochtones (GISA)de l’UdeM . C’est en 2011 que le Dr. Stanley Vollant, premier chirurgien autochtone du Québec, crée les mini-écoles de la santé. En s’alliant avec des étudiants en médecine de l’UdeM, Dr. Vollant désire aller à la rencontre des jeunes autochtones des communautés autochtones du Québec . « L’idée est d’aller jouer avec eux, de les stimuler, de leur mettre un sarrau et un stéthoscope. Leur apprendre à écouter le cœur et à regarder dans une oreille, leur parler de médecine, de santé, de prévention. Peut-être qu’ils ne deviendront pas tous médecins, mais ils vont peut-être aller très loin. » . Le temps d’une journée, à raison de deux fois par année, une quarantaine d’étudiants de l’UdeM, maintenant en provenance de tous les programmes de la santé et des services sociaux visitent les communautés atikamekw du Québec . Par des échanges, de l’animation d’ateliers dynamiques et informatifs sur la santé les étudiants universitaires contribuent à soutenir la persévérance scolaire des jeunes autochtones, de stimuler leur intérêt pour les études supérieures et une carrière en sciences de la santé, de favoriser de saines habitudes de vie et, par-dessus tout, de les encourager à croire en leurs rêves! En réciprocité, elles ont aussi pour objectif de soutenir le développement de la compétence culturelle des étudiants en sciences de la santé et de découvrir des réalités autochtones trop souvent peu ou méconnues . Le programme de la Mini-École de la santé, maintenant organisé par le GISA, est sans cesse en évolution. En 2013, la bibliothèque de la santé de l’UdeM se joint au projet en proposant d’ajouter un volet documentaire. Des livres sur la santé et les sciences sont sélectionnés par les bibliothécaires et présentés aux enfants et ensuite donnés aux bibliothèques des écoles. Ainsi près de 350 livres neufs ont été distribués à 7 écoles primaires et secondaires des écoles atikameks et innues . Depuis 2014, GISA et ses Mini-Écoles de la santé tentent d’aller à la rencontre de plus de jeunes. Ainsi, au cours d’une semaine, une vingtaine d’étudiants parcourent les communautés innues de la Côte-Nord. De Pessamit à Nutashquan (en 2014) auquel s’ajoute en 2016 Ekuantshit. Les mini-écoles de la santé jouissent d’une grande couverture médiatique (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/643527/mini-ecole-stanley-vollant-wemotaci), elles constituent une expérience très prisée chez les étudiants de L’Université de Montréal et sont attendues par les étudiants des écoles de communautés.
This story is not available in English. Please select another language option.
Posted on by Pam Greene
Traditional Tea Workshop (s)
Traditional Tea Workshop (s)
Posted on by Catherine Charest
Le Centre des Premières Nations Nikanite (CPNN) de l’Université du Québec à Chicoutimi oeuvre depuis 1991 à assurer la formation universitaire de communautés des Premières Nations. Il s’agit d’une organisation offrant divers programmes d’études aux étudiants autochtones, tels qu’en administration, en arts et culture, en éducation, en intervention et en langues. L’équipe de CPNN propose […]
Le Centre des Premières Nations Nikanite (CPNN) de l’Université du Québec à Chicoutimi oeuvre depuis 1991 à assurer la formation universitaire de communautés des Premières Nations. Il s’agit d’une organisation offrant divers programmes d’études aux étudiants autochtones, tels qu’en administration, en arts et culture, en éducation, en intervention et en langues. L’équipe de CPNN propose également différents services, dont un soutien pédagogique, et des ressources permettant d’assurer l’insertion de jeunes Autochtones aux études universitaires. L’équipe a à coeur la réussite scolaire et l’épanouissement personnel des étudiants et demeure ainsi à l’écoute de leurs besoins. Le centre a d’ailleurs pour objectif la valorisation identitaire et le rayonnement culturel des membres des Premières Nations. Le Centre des Premières Nations Nikanite est un lieu accueillant, et représente un milieu de vie pour les étudiants. Son équipe travaille continuellement au développement de formations universitaires et de programmes qui répondent aux besoins, aux attentes et aux réalités des étudiants autochtones. Il agit également à la sensibilisation de la communauté universitaire à la culture des Premières Nations du Québec et prône le respect envers les Premières Nations. En 2017, le Centre Nikanite partagea avec quelques autres organismes et personnalités le prix Droits et Liberté 2017 de la Commission des droits de la personne et de la Jeunesse, démontrant ainsi l’excellence de leur initiative.
Accueil
This story is not available in English. Please select another language option.
Posted on August 28, 2018 by Janine Landry
The Pic River Secondary program offers students an opportunity to meet their educational requirements by participating in a canoe trip in their traditional territory.
Pic River First Nation’s Director of Education, Lisa Michano-Courchene, discusses about the Pic River Secondary program that allows students to attain their education, in a setting that better meets their individual needs, in their home community. The community creates a summer program in which students and community members prepare for and embark on a canoe trip in their traditional territory. This program is accredited and the students can receive a credit towards their diploma for being a part of this summer course.
http://www.picriver.com/index.pl?page=72&top=1
Posted on by Janine Landry
An on-reserve secondary program that assists Indigenous students in acquiring their secondary diploma while at home.
Janine Landry talks with Brent Tookenay, CEO of Seven Generations Education Institute based out of Fort Francis, Ontario. The Seven Generations Private Secondary Program is an on reserve secondary program that allows student to stay on reserve and acquire their secondary diploma at their pace and at home. This program allows students to receive their diploma by another means that better meets their individual needs.
https://www.facebook.com/MySGEI/