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Bachelor of Arts in Native Studies combined with Education degree, University of Alberta

Brenda Morency is an Indigenous full-time student enrolled in her 5th year at the University of Alberta in the Bachelor of Arts in Native Studies combined degree in the Bachelor of Education Secondary route. Brenda’s major is in the Cree Language and her minor is Native Studies. Brenda has studied a number of Native studies […]

Brenda Morency is an Indigenous full-time student enrolled in her 5th year at the University of Alberta in the Bachelor of Arts in Native Studies combined degree in the Bachelor of Education Secondary route. Brenda’s major is in the Cree Language and her minor is Native Studies. Brenda has studied a number of Native studies courses offered through the University of Alberta. Before attending University, Brenda didn’t learn about residential schools or the history of Indigenous peoples until she enrolled in University. Brenda explains how her training has been a learning and healing journey for her. Brenda has studied and learned the Cree Language and is now capable to teach others, even though she isn’t fluent and hopes to focus on this. Brenda has learned the structure of the Cree language, syntax and understands the importance of keeping the language alive.

Les mini-écoles de la santé (Université de Montréal)

Les mini-écoles de la Santé sont un projet initié par le Dr Stanley Vollant et maintenant piloté par Dr. Éric Drouin. Ce projet est issu d’une collaboration entre le Comité interfacultaire opérationnel de l’Université de Montréal, le Comité étudiant interfacultaire de l’UdeM (responsables des activités de formation à la collaboration interprofessionnelle) et le Groupe d’intérêt […]

Les mini-écoles de la Santé sont un projet initié par le Dr Stanley Vollant et maintenant piloté par Dr. Éric Drouin. Ce projet est issu d’une collaboration entre le Comité interfacultaire opérationnel de l’Université de Montréal, le Comité étudiant interfacultaire de l’UdeM (responsables des activités de formation à la collaboration interprofessionnelle) et le Groupe d’intérêt pour la santé des Autochtones (GISA)de l’UdeM . C’est en 2011 que le Dr. Stanley Vollant, premier chirurgien autochtone du Québec, crée les mini-écoles de la santé. En s’alliant avec des étudiants en médecine de l’UdeM, Dr. Vollant désire aller à la rencontre des jeunes autochtones des communautés autochtones du Québec . « L’idée est d’aller jouer avec eux, de les stimuler, de leur mettre un sarrau et un stéthoscope. Leur apprendre à écouter le cœur et à regarder dans une oreille, leur parler de médecine, de santé, de prévention. Peut-être qu’ils ne deviendront pas tous médecins, mais ils vont peut-être aller très loin. » . Le temps d’une journée, à raison de deux fois par année, une quarantaine d’étudiants de l’UdeM, maintenant en provenance de tous les programmes de la santé et des services sociaux visitent les communautés atikamekw du Québec . Par des échanges, de l’animation d’ateliers dynamiques et informatifs sur la santé les étudiants universitaires contribuent à soutenir la persévérance scolaire des jeunes autochtones, de stimuler leur intérêt pour les études supérieures et une carrière en sciences de la santé, de favoriser de saines habitudes de vie et, par-dessus tout, de les encourager à croire en leurs rêves! En réciprocité, elles ont aussi pour objectif de soutenir le développement de la compétence culturelle des étudiants en sciences de la santé et de découvrir des réalités autochtones trop souvent peu ou méconnues . Le programme de la Mini-École de la santé, maintenant organisé par le GISA, est sans cesse en évolution. En 2013, la bibliothèque de la santé de l’UdeM se joint au projet en proposant d’ajouter un volet documentaire. Des livres sur la santé et les sciences sont sélectionnés par les bibliothécaires et présentés aux enfants et ensuite donnés aux bibliothèques des écoles. Ainsi près de 350 livres neufs ont été distribués à 7 écoles primaires et secondaires des écoles atikameks et innues . Depuis 2014, GISA et ses Mini-Écoles de la santé tentent d’aller à la rencontre de plus de jeunes. Ainsi, au cours d’une semaine, une vingtaine d’étudiants parcourent les communautés innues de la Côte-Nord. De Pessamit à Nutashquan (en 2014) auquel s’ajoute en 2016 Ekuantshit. Les mini-écoles de la santé jouissent d’une grande couverture médiatique (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/643527/mini-ecole-stanley-vollant-wemotaci), elles constituent une expérience très prisée chez les étudiants de L’Université de Montréal et sont attendues par les étudiants des écoles de communautés.

 

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Centre des Premières Nations Nikanite

Le Centre des Premières Nations Nikanite (CPNN) de l’Université du Québec à Chicoutimi oeuvre depuis 1991 à assurer la formation universitaire de communautés des Premières Nations. Il s’agit d’une organisation offrant divers programmes d’études aux étudiants autochtones, tels qu’en administration, en arts et culture, en éducation, en intervention et en langues. L’équipe de CPNN propose […]

Le Centre des Premières Nations Nikanite (CPNN) de l’Université du Québec à Chicoutimi oeuvre depuis 1991 à assurer la formation universitaire de communautés des Premières Nations. Il s’agit d’une organisation offrant divers programmes d’études aux étudiants autochtones, tels qu’en administration, en arts et culture, en éducation, en intervention et en langues. L’équipe de CPNN propose également différents services, dont un soutien pédagogique, et des ressources permettant d’assurer l’insertion de jeunes Autochtones aux études universitaires. L’équipe a à coeur la réussite scolaire et l’épanouissement personnel des étudiants et demeure ainsi à l’écoute de leurs besoins. Le centre a d’ailleurs pour objectif la valorisation identitaire et le rayonnement culturel des membres des Premières Nations. Le Centre des Premières Nations Nikanite est un lieu accueillant, et représente un milieu de vie pour les étudiants. Son équipe travaille continuellement au développement de formations universitaires et de programmes qui répondent aux besoins, aux attentes et aux réalités des étudiants autochtones. Il agit également à la sensibilisation de la communauté universitaire à la culture des Premières Nations du Québec et prône le respect envers les Premières Nations. En 2017, le Centre Nikanite partagea avec quelques autres organismes et personnalités le prix Droits et Liberté 2017 de la Commission des droits de la personne et de la Jeunesse, démontrant ainsi l’excellence de leur initiative.

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Les Productions Menuentakuan

« Menuentakuan » veut dire, en langue innue : « Prendre le thé ensemble, se dire les vraies choses dans le plaisir et la bonne humeur » et c’est exactement ce que Productions Menuentakuan s’est donné comme mandat pour ses spectacles » (Menuentakuan, 2017). En 2013, un collectif artistique voit le jour rassemblant des artistes […]

« Menuentakuan » veut dire, en langue innue : « Prendre le thé ensemble, se dire les vraies choses dans le plaisir et la bonne humeur » et c’est exactement ce que Productions Menuentakuan s’est donné comme mandat pour ses spectacles » (Menuentakuan, 2017). En 2013, un collectif artistique voit le jour rassemblant des artistes autochtones et non-autochtones autour d’un projet théâtral intitulé : Puamun. Au sein de ce collectif, nous retrouvons Charles Buckell, Marco Collin et Xavier Huard. Le projet théâtral Puamun est joué dans les communautés autochtones et aborde des thématiques sensibles vécues par les jeunes au sein des communautés autochtones ou à proximité. Principalement, la pièce aborde les thèmes de l’identité, du racisme et de la langue par exemple. Devant le succès de cette pièce, le collectif décida de produire une autre pièce, celle de Prendre le thé, qui fut présenté à Montréal et à l’école secondaire de la communauté de Mashtueiatsh. Cette même année, Charles Buckell quitte le collectif pour entamer des études en arts dramatiques à l’Université du Québec à Chicoutimi et Charles Bender, un acteur wendat, se joint au collectif. Devant l’engouement grandissant du public québécois et autochtones, le collectif décida en 2015 de se transformer en un organisme à but non lucratif portant le nom des Productions de Menuentakuan. Au mois de février 2015, la compagnie proposa une production artistique nommée Muliat, pièce qui explore « le gouffre, trop souvent ignoré, qui existe en deux nations en recherche de repères ». La pièce fut acclamée et attira l’intérêt de plusieurs diffuseurs, tant à l’échelle nationale qu’à l’échelle internationale (Menuentakuan, 2017). Les productions Menuentakuan se veulent être un point de rencontre entre la culture des Premières Nations du Canada et les autres cultures qui viennent enrichir l’identité canadienne et québécoise. Pour transmettre leurs messages, les productions Menuentakuan utilisent le théâtre et les performances. Leurs créations mettent en valeur le regard que porte les peuples autochtones sur ces thématiques et permet également au public de participer de façon critique à la pièce en partageant ses opinions, ses préférences, ses réflexions avec les acteurs après chaque représentation. Les productions Menuentakuan proposent un espace de dialogue entre peuple autochtones et allochtones par le théâtre et les arts de la scène et cherche à mettre en valeur le regard des peuples autochtones sur des thématiques contemporaines. Précisément, les mandats de la compagnie sont (Menuentakuan, 2017) : • Créer, produire et diffuser des spectacles • Promouvoir les arts de la scène autochtone • Promouvoir les échanges et les collaborations entre les peuples autochtones et non-autochtones par le biais d’événements artistiques • Offrir des ateliers de création artistiques. La pièce Muliats, offra plus de 35 spectacles entre 2016 et 2018. Elle a également participé au Festival international de théâtre de Port-au-Prince en Haïti au mois de novembre 2017 afin d’y présenter sa pièce Muliats. Il s’agit de la première fois qu’une pièce canadienne est présentée en Haïti. Du 16 janvier au 3 février 2018, les productions Menuentakuan présenteront à Montréal la pièce Là où le sang se mêle au théâtre Denise-Pelletier. Cette pièce raconte l’histoire de Floyd, un rescapé des pensionnats indiens qui, tombé dans les vices de l’alcool, décidera de se mettre à la recherche de sa fille qui fut adoptée vingt ans plus tôt. Cette pièce fut traduite de l’originale en anglais : Where the blood mixes, de Kevin Loring, auteur de la Nation Nlaka’pamux en Colombie Britannique. En Colombie Britannique, cette pièce s’est méritée plusieurs prix et honneurs !

 

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Aboriginal Health Initiative – Memorial University – Carolyn Sturge Sparkes – Coordinator – St. John’s, Newfoundland

Carolyn Sturge Sparkes, the Coordinator of the Aboriginal Health Initiative at Memorial University, discusses the ways that Indigenous students are recruited and supported in medical school.

Carolyn Sturge Sparkes, the Coordinator of the Aboriginal Health Initiative at Memorial University, discusses the ways that Indigenous students are recruited and supported in medical school.

Contemporary Indigenous Ideas: Personal Narrative Course – Memorial University Grenfell Campus – Bethany Bernier – Student – Corner Brook – Newfoundland

Bethany Bernier describes her experiences taking the Contemporary Indigenous Ideas: Personal Narrative course taught by Kelly Anne Butler at Grenfell Campus, Memorial University.

Bethany Bernier describes her experiences taking the Contemporary Indigenous Ideas: Personal Narrative course taught by Kelly Anne Butler at Grenfell Campus, Memorial University.

Esk’etemc Youth Capacity Building

Supporting economic development goals through capacity building.

Supporting economic development goals through capacity building.