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Matcekiw – Soutien familial à la réussite éducative à Manawan

Le Conseil atikamekw de Manawan, par le projet Matcekiw a comme mission le renforcement de trois domaines prioritaires aux yeux de la communauté soit 1) la prévention et la sensibilisation, 2) la promotion et 3) l’intervention. Matcekiw, « développement de l’enfance dans ses forces » désire favoriser l’épanouissement des jeunes et leurs pouvoir d’agir. Pour […]

Le Conseil atikamekw de Manawan, par le projet Matcekiw a comme mission le renforcement de trois domaines prioritaires aux yeux de la communauté soit 1) la prévention et la sensibilisation, 2) la promotion et 3) l’intervention. Matcekiw, « développement de l’enfance dans ses forces » désire favoriser l’épanouissement des jeunes et leurs pouvoir d’agir. Pour atteindre cet objectif il semble inévitable que Matcekiw doit mettre en place des stratégies complémentaires au plan de la réussite scolaire. Matcekiw offre ainsi divers ateliers aux enfants de 0 à 4 ans et leurs familles et aux jeunes de 12 à 20 ans permettant à ceux-ci d’acquérir des outils pour faire face à leurs difficultés et développer une attitude positive envers l’école et leur avenir. Matcekiw propose plus d’une dizaine d’activités et d’ateliers rejoignant environ 200 jeunes et parents abordant entre autres l’entrée à l’école, la sensibilisation à la persévérance scolaire et les activités parascolaires (CTREQ : 2013). Ces événements sont plus précisément orientés vers deux volets soit 1) la préparation aux examens et le passage au secondaire destinés aux jeunes de 5e et de 6e année du primaire et 2) des soirées d’informations sur le développement de l’enfant et l’importance de l’encadrement dès le plus jeune âge (PSJA :2017).

https://www.psja.ctreq.qc.ca/projets/matcekiw/

 

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Stratégie Mikimo – Service de développement des compétences du Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or

Le Service de développement des compétences a vu le jour en 2008 et vise à réduire les obstacles des Autochtones pour accéder à la vie socioéconomique. Pour ce faire, les participants des divers groupes d’âge ont accès à différents parcours individualisés ou de groupe pour atteindre leurs buts. Par exemple, le parcours Madjimakin (qui signifie […]

Le Service de développement des compétences a vu le jour en 2008 et vise à réduire les obstacles des Autochtones pour accéder à la vie socioéconomique. Pour ce faire, les participants des divers groupes d’âge ont accès à différents parcours individualisés ou de groupe pour atteindre leurs buts. Par exemple, le parcours Madjimakin (qui signifie accroche-toi), vise des jeunes âgés entre 18 et 29 ans confrontés à des enjeux socio-économiques importants. Cette démarche individuelle favorise le développement des compétences de la vie qui les amènent à élaborer un projet d’action (éducatif, professionnel, créatif, entrepreuneurial). D’autres mesures vont plutôt accorder une importance à la vie de groupe, comme c’est le cas pour le parcours Odabi (qui signifie «aube» en langue algonquine), qui a pour but d’amener les participants (de 16 ans et plus) à développer des compétences essentielles et professionnelles et éventuellement à accéder à des métiers semi-spécialisés selon leurs domaines d’intérêts (minier, forestier, industriel, commercial, institutionnel). Le parcours Wabidjan (qui veut dire «montre-moi» en langue algonquine) permet un jumelage compagnon et apprenti dans les domaines touristique et de l’hôtellerie en vue d’acquérir de l’expérience de travail. Le parcours Tciman est orienté vers les personnes prêtes à l’emploi mais qui sont confrontées à des difficultés à accéder au marché du travail. Pour ces parcours de groupe, des ateliers et de stages rémunérés sont proposés aux participants. Ainsi, le Service de développement des compétences peut rejoindre les différents profils d’individus avec sa stratégie Mikimo (qui signifie «il/elle travaille» en langue anicinabe), lancée en juin 2017, pour préparer les Autochtones de tous les âges qui souhaitent entrer sur le marché du travail par l’entremise de différents parcours énumérés ci-haut. Compte tenu des écarts importants entre le taux d’emploi des autochtones et des allochtones en région valdorienne, il y a une opportunité de transformer le monde du travail, en développant les compétences des individus. La stratégie Mikimo est menée par le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or, en partenariat avec la Formation générale aux adultes, la Commission scolaire Western Québec, la Chambre de commerce de Val-d’Or, l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et le réseau DIALOG. Les instigateurs de la stratégie anticiper soutenir 250 autochtones au cours des quatre prochaines années.

 

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Références pertinentes

Rouillard, S. (2017, 13 décembre). Stratégie Mikimo : aider les Autochtones sur le marché du travail. Le Citoyen. Val-d’Or. Repéré à https://www.lechoabitibien.ca/actualites/2017/12/13/strategie-mikimo–aider-les-autochtones-sur-le-marche-du-travail.html

Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2008). Le Cahier du Centre, vol. 26, no. 3, septembre. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/cahier_septembre_2008-web.pdf

Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2010). Rapport annuel 2009-2010. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/caa010.rapportannuelfr.final-web-2.pdf

Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2011). Rapport annuel 2010-2011. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/caavd-rapport_2010-2011_fr-web.pdf Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2012). Rapport annuel 2011-2012. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/caavd_rapport_2011-2012-fr-screen.pdf Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or (2013). Présentation des participants à tour de rôle lors de la 4e cohorte d’Odabi. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=ndazJa-5qoU Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or (2013). Présentation du projet Odabi. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=Wv6SxmXkro8 Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2013). Rapport annuel 2012-2013. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/rapport_annuel_caavd_2012-2013_fr.pdf Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2014). Rapport annuel 2013-2014. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/rapport_web.pdf

Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2015). Rapport annuel 2014-2015. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/rapport_web_2015.pdf

Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2016). Rapport annuel 2015-2016. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/rapport_annuel_2016_reduit.pdf

Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2017a). Rapport annuel 2016-2017. Repéré à https://www.caavd.ca/uploads/2/7/8/7/27879591/rapport_annuel_2017.pdf

Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. (2017b). Accueil. Repéré à https://www.caavd.ca/

Deshaies, T. (2017, 13 décembre). Une nouvelle stratégie pour augmenter l’employabilité des Autochtones dans la Vallée-de-l’Or. Radio-Canada. Val-d’Or. Repéré à http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1073034/emploi-autochtones-mrc-vallee-de-or-abitibi

Ola Anderson Interview

Inuit Education in Coastal Labrador.

Inuit Education in Coastal Labrador.

Intersections of Indigenous Education and Chemistry at First Nations University of Canada

Vincent Ziffle incorporates Indigenous ways of knowing into his 100 level Chemistry courses at the First Nations University of Canada.

Assistant Professor, Vincent Ziffle, from the Department of Indigenous Science, the Environment, and Economic Development (DISEED) at First Nations University of Canada, discusses the intersections of Chemistry and Indigenous education. Ziffle explains how organic, introductory, and general chemistries can be explored experientially in classrooms, on the land, or in the kitchen. The chemistry of medicinal plants or the chemistry of food and cooking offers a high degree of traditional knowledge integration into the course. For Ziffle, Indigenous education incorporates traditional ways of knowing, traditional ecological knowledge, and involves working with and learning from Elders. Ziffle hopes to provide all students opportunities to understand chemistry, at least the basics, where principles are learned experientially enriching our lives to better understand our world.

Follow the link to find more information about the First Nation’s University, Indigenous Environmental Science program http://fnuniv.ca/a-programs.

The First Nations University of Canada, the University of Regina, and the University of Saskatchewan partner with Let’s Talk Science, a national non-profit organization whose volunteers work with classrooms or community groups to connect them to science, technology, engineering, and mathematic learning experiences. Follow the link to learn more about their programs https://letstalkscience.ca.

“Our Labrador” program at Southern Labrador Family Centers Inc.

“Our Labrador” program is a six week program teaching traditional skills and culture to youth on the southeast coast of Labrador

“Our Labrador” program is a six week program teaching traditional skills and culture to youth on the southeast coast of Labrador

K-12 Education in Hopedale

Integrating traditional knowledge into K-12.

Integrating traditional knowledge into K-12.

Contemporary Indigenous Ideas: Personal Narrative Course – Memorial University, Grenfell Campus – Kelly Anne Butler – Instructor – Corner Brook, Newfoundland

Kelly Anne Butler, an Instructor at Memorial University’s Grenfell Campus, discusses her course on Indigenous Personal Narrative and the ways that she has managed to bridge the community and the university.

Kelly Anne Butler, an Instructor at Memorial University’s Grenfell Campus, discusses her course on Indigenous Personal Narrative and the ways that she has managed to bridge the community and the university.

Aboriginal Health Initiative – Memorial University – Emily Bolt – Phase 3 Medical Student/Local Officer of Indigenous Health – St. John’s, Newfoundland

Emily Bolt, a phase 3 medical student and the local Officer of Indigenous Health at Memorial University, describes the programs and supports in place for Indigenous students at the medical school.

Emily Bolt, a phase 3 medical student and the local Officer of Indigenous Health at Memorial University, describes the programs and supports in place for Indigenous students at the medical school.