Posted on September 17, 2018 by Catherine Charest
L’Institut Tshakapesh, qui se situe à Uashat, est un organisme culturel et éducatif qui dessert, depuis près de trente-cinq ans, huit communautés innues de la Côte-Nord. L’Institut a pour mission de préserver la langue et la culture innu et oeuvre à favoriser la réussite scolaire des jeunes des communautés membres. Pour se faire, l’Institut Tshakapesh […]
L’Institut Tshakapesh, qui se situe à Uashat, est un organisme culturel et éducatif qui dessert, depuis près de trente-cinq ans, huit communautés innues de la Côte-Nord. L’Institut a pour mission de préserver la langue et la culture innu et oeuvre à favoriser la réussite scolaire des jeunes des communautés membres. Pour se faire, l’Institut Tshakapesh propose des activités d’échange et de perfectionnement en impliquant les parents dans l’éducation de leurs enfants. L’Institut valorise également « le maintien des traditions, la fierté culturelle, le respect d’autrui et l’entraide », des valeurs devant être transmises aux générations futures. (Institut Tshakapesh, 2013) L’Institut Tshakapesh offre, en collaboration avec les écoles membres, plusieurs programmes en éducation. On y retrouve notamment le programme « Agir tôt/Uipat Tutetau » qui valorise l’engagement des parents et de la collectivité dans l’éducation des jeunes et dans la réussite scolaire des élèves. Le programme « Agir tôt » favorise une meilleure préparation des étudiants à leur arrivée à l’école primaire. Pour ce faire, il permet un dépistage précoce des besoins spéciaux des jeunes. Il permet le développement global des enfants par l’utilisation de matériels adaptés et par l’apprentissage par le jeu. Ce programme prend la forme d’ateliers d’implication parentaux pour lesquels des capsules vidéos ont été produites. Ces capsules sont accompagnées de fiche d’activité afin que les parents puissent mieux soutenir le développement de leurs enfants. Le programme « Agir tôt » a finalement pour objectif de favoriser l’égalité des chances chez les jeunes.
http://tshakapesh.ca/CLIENTS/1-tshakapesh/docs/upload/sys_docs/Plan_de_reussite_1516_Johnny_Pilot.pdf https://www.tshakapesh.ca/fr/implication-parentale_188/ http://colloques.uqac.ca/prscpp/files/2017/04/horaire-PRSCPP-2017.pdf http://www.itum.qc.ca/fichiers/224/rapporttrimestriel20142015.pdf http://www.itum.qc.ca/fichiers/250/Rapport+trimestriel+mars+à+juin+2015+-secteur+éducation.pdf https://www.facebook.com/pg/institut.tshakapesh/posts/ http://agirtot.org/a-propos/ http://www.tshakapesh.ca/fr/salle-de-presse_2/?id=79 https://www.tshakapesh.ca/CLIENTS/1-tshakapesh/docs/upload/sys_docs/Fiches_detaillees__Nete_ishpimit_Le_sommet.pdf http://www.itum.qc.ca/page.php?rubrique=sc_educationculture
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Posted on by Janine Landry
An on-reserve school that has created their own curriculum that meets the needs and expectations of the community itself.
Janine Landry interviews Pic River First Nation’s director of education, Lisa Michano-Courchene about the community run primary school. The Pic River First Nation School is an on-reserve school that has created its own curriculum that meets the needs and expectations of the community itself. The school integrates ceremony, language and land in every aspect of the classroom and curriculum. It has worked to move away from “teacher as expert” and move more towards life-long learning together as community.
http://www.picriver.com/index.pl?page=29&top=27
Posted on September 14, 2018 by Anika Guthrie
Bimose Tribal Council opened this Anishnaabe-based school for First Nations students in the Kenora area.
Anika Guthrie talks with Ryan White, Principal at Kiizhik Gakendaasow Primary school in Kenora, Ontario. Bimose Tribal Council opened this Anishnaabe-based school for First Nations students in the Kenora area. Kiizhik is seen as a cedar lodge for knowledge, teaching Anishnaabe values through education.
Posted on by Catherine Charest
Le Chemin des Mille Rêves, Puamun Meskenu, est une organisation créée par Dr Stanley Vollant qui oeuvre, depuis 2016, à développer les quatre dimensions du mieux-être des jeunes autochtones, soit les dimensions mentales, physiques, émotionnelles et spirituelles. L’organisation du Chemin des Mille Rêves fut fondé après que Dr Vollant ait parcouru, à la marche, près […]
Le Chemin des Mille Rêves, Puamun Meskenu, est une organisation créée par Dr Stanley Vollant qui oeuvre, depuis 2016, à développer les quatre dimensions du mieux-être des jeunes autochtones, soit les dimensions mentales, physiques, émotionnelles et spirituelles. L’organisation du Chemin des Mille Rêves fut fondé après que Dr Vollant ait parcouru, à la marche, près de 6 000 km « à travers le territoire des premiers peuples » (Le Chemin des Mille Rêves, 2017). L’homme s’est alors engagé à agir pour l’amélioration des conditions de vie et pour la construction ou la reconstruction des Autochtones, c’est-à-dire « [qu’ils] se développent à leur plein potentiel et [qu’ils ]contribuent à leur mieux-être collectif » (Le Chemin des Mille Rêves, 2017). L’organisme Le Chemin des Mille Rêves a pour mission d’inspirer et d’appuyer les Autochtones, particulièrement les jeunes âgés de 25 ans et moins, afin qu’ils développement leur plein potentiel et qu’ils tracent eux-même leur « chemin des mille rêves ». L’organisme oriente ses activités selon une vision holistique que représente la roue du mieux-être utilisée par les communautés autochtones. Cette roue se compose de quatre axes : « – Mental : inspirer les Premières Nations, Métis et Inuits grâce à des modèles de persévérance; – Physique : Améliorer la santé; – Émotionnel : Rassembler les communautés et les générations; – Spirituel : Promouvoir les valeurs autochtones et favoriser une meilleure compréhension interculturelle » (Le Chemin des Mille Rêves, 2017). Selon cette vision, ces quatre axes forment un tout et s’équilibrent. Ainsi, en optant pour cette approche, Le Chemin des Mille Rêves valorise une vision d’ensemble pour ses interventions. Sur le site internet de l’organisme, divers outils pédagogiques sont d’ailleurs offerts et s’adressent aux élèves du primaire et leurs enseignants (http://www.innu-meshkenu.com/fr/les-mille-reves/trousse-pedagogique). Le Chemin des Mille Rêves. (2017). Les mille rêves. Repéré à http://www.innu-meshkenu.com/
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Posted on August 29, 2018 by Flavie Robert-Careau
Les mini-écoles de la Santé sont un projet initié par le Dr Stanley Vollant et maintenant piloté par Dr. Éric Drouin. Ce projet est issu d’une collaboration entre le Comité interfacultaire opérationnel de l’Université de Montréal, le Comité étudiant interfacultaire de l’UdeM (responsables des activités de formation à la collaboration interprofessionnelle) et le Groupe d’intérêt […]
Les mini-écoles de la Santé sont un projet initié par le Dr Stanley Vollant et maintenant piloté par Dr. Éric Drouin. Ce projet est issu d’une collaboration entre le Comité interfacultaire opérationnel de l’Université de Montréal, le Comité étudiant interfacultaire de l’UdeM (responsables des activités de formation à la collaboration interprofessionnelle) et le Groupe d’intérêt pour la santé des Autochtones (GISA)de l’UdeM . C’est en 2011 que le Dr. Stanley Vollant, premier chirurgien autochtone du Québec, crée les mini-écoles de la santé. En s’alliant avec des étudiants en médecine de l’UdeM, Dr. Vollant désire aller à la rencontre des jeunes autochtones des communautés autochtones du Québec . « L’idée est d’aller jouer avec eux, de les stimuler, de leur mettre un sarrau et un stéthoscope. Leur apprendre à écouter le cœur et à regarder dans une oreille, leur parler de médecine, de santé, de prévention. Peut-être qu’ils ne deviendront pas tous médecins, mais ils vont peut-être aller très loin. » . Le temps d’une journée, à raison de deux fois par année, une quarantaine d’étudiants de l’UdeM, maintenant en provenance de tous les programmes de la santé et des services sociaux visitent les communautés atikamekw du Québec . Par des échanges, de l’animation d’ateliers dynamiques et informatifs sur la santé les étudiants universitaires contribuent à soutenir la persévérance scolaire des jeunes autochtones, de stimuler leur intérêt pour les études supérieures et une carrière en sciences de la santé, de favoriser de saines habitudes de vie et, par-dessus tout, de les encourager à croire en leurs rêves! En réciprocité, elles ont aussi pour objectif de soutenir le développement de la compétence culturelle des étudiants en sciences de la santé et de découvrir des réalités autochtones trop souvent peu ou méconnues . Le programme de la Mini-École de la santé, maintenant organisé par le GISA, est sans cesse en évolution. En 2013, la bibliothèque de la santé de l’UdeM se joint au projet en proposant d’ajouter un volet documentaire. Des livres sur la santé et les sciences sont sélectionnés par les bibliothécaires et présentés aux enfants et ensuite donnés aux bibliothèques des écoles. Ainsi près de 350 livres neufs ont été distribués à 7 écoles primaires et secondaires des écoles atikameks et innues . Depuis 2014, GISA et ses Mini-Écoles de la santé tentent d’aller à la rencontre de plus de jeunes. Ainsi, au cours d’une semaine, une vingtaine d’étudiants parcourent les communautés innues de la Côte-Nord. De Pessamit à Nutashquan (en 2014) auquel s’ajoute en 2016 Ekuantshit. Les mini-écoles de la santé jouissent d’une grande couverture médiatique (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/643527/mini-ecole-stanley-vollant-wemotaci), elles constituent une expérience très prisée chez les étudiants de L’Université de Montréal et sont attendues par les étudiants des écoles de communautés.
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Posted on by Lisa Jodoin
Stacey Howse, the Child and Youth Program Director at St. John’s Native Friendship Centre (now called First Light Friendship Centre), describes the many amazing programs the centre offers and the impact these programs have for the off-reserve community in St. John’s.
Stacey Howse, the Child and Youth Program Director at St. John’s Native Friendship Centre (now called First Light Friendship Centre), describes the many amazing programs the centre offers and the impact these programs have for the off-reserve community in St. John’s.
Posted on by Lisa Jodoin
Carolyn Sturge Sparkes, the Coordinator of the Aboriginal Health Initiative at Memorial University, discusses the ways that Indigenous students are recruited and supported in medical school.
Carolyn Sturge Sparkes, the Coordinator of the Aboriginal Health Initiative at Memorial University, discusses the ways that Indigenous students are recruited and supported in medical school.