Rapport |
Honorer la vérité, réconcilier pour l’avenir : Sommaire du rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada |
Les rapports énumérés ici ont été publiés ou créés par la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR). On peut consulter ou reproduire ces copies numériques sans frais à partir... En savoir plus
Les rapports énumérés ici ont été publiés ou créés par la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR). On peut consulter ou reproduire ces copies numériques sans frais à partir du site Web du CNVR. Tous les rapports sont du domaine public.
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Le Centre national pour la vérité et la réconciliation |
Canada |
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vérité, réconciliation, les survivantes |
Vidéos (FR) |
Wapikoni |
vidéos et films sur les peuples autochtones; studio ambulant de formation et de création audiovisuelle des Premières Nations
vidéos et films sur les peuples autochtones; studio ambulant de formation et de création audiovisuelle des Premières Nations
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Wapikoni |
Quebec |
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Journal (FR) |
Revue de la persévérance et de la réussite scolaires chez les Premiers Peuples |
Volumes 3 of the Journal (2019), regrouping short papers related to communications held at the 3rd Conference.
Volumes 3 of the Journal (2019), regrouping short papers related to communications held at the 3rd Conference.
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Centre des Premières Nations Nikanite |
Quebec |
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Students, teachers, professionnals, conference, communications, short papers |
Journal (FR) |
Revue de la persévérance et de la réussite scolaires chez les Premiers Peuples |
Volume 2 of the Journal (2016), regrouping short papers related to communications held at the 2nd Conference.
Volume 2 of the Journal (2016), regrouping short papers related to communications held at the 2nd Conference.
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Centre des Premières Nations Nikanite |
Quebec |
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Students, teachers, professionnals, conference, communications, short papers |
Journal (FR) |
Revue de la persévérance et de la réussite scolaires chez les Premiers Peuples |
Volume 1 of the Journal (2015), regrouping short papers related to communications held at the 1st Conference.
Volume 1 of the Journal (2015), regrouping short papers related to communications held at the 1st Conference.
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Centre des Premières Nations Nikanite |
Quebec |
URL |
Students, teachers, professionnals, conference, communications, short papers |
Livres/Publications |
Curiosité naturelle, 2e édition: Ressource pour l’enseignante ou l’enseignant: L’importance du point de vue autochtone dans l’enquête dans l’environnement de l’enfant |
Publiée en 2018, la deuxième édition de Curiosité Naturelle soutient une pédagogie inclusive et consciente des perspectifs Autochtones et leur importance à l'éducation environnementale. La deuxième... En savoir plus
Publiée en 2018, la deuxième édition de Curiosité Naturelle soutient une pédagogie inclusive et consciente des perspectifs Autochtones et leur importance à l'éducation environnementale. La deuxième édition était motivée par un besoin impeìratif, deìcoulant des recommandations fermes et sans eìquivoque de la Commission de veìriteì et reìconciliation (2015) : inteìgrer le point de vue des Autochtones aux milieux eìducatifs et aux curriculums canadiens, surtout au sujet de l'environnement.
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Julie Comay et Doug Anderson |
Canada |
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éducation environnementale, viabilité environnementale, perspectives autochtones, histoires, narration, langue française, French |
Article (FR) |
Pour que la langue algonquine ne meure jamais |
C’est par le chant et les comptines que les élèves de l’école Migwan de Pikogan pourront apprendre et sauvegarder leur langue grâce à un recueil de chansons et comptines qui a été dévoilé... En savoir plus
C’est par le chant et les comptines que les élèves de l’école Migwan de Pikogan pourront apprendre et sauvegarder leur langue grâce à un recueil de chansons et comptines qui a été dévoilé par ses instigateurs.Appelé Nigamou (Chante), le projet est le fruit d’une réflexion de Julie Mowatt, conseillère pédagogique à l’école primaire. «Quand j’étais au pensionnat, on nous a fait beaucoup chanter pour apprendre le français. Je me suis dit que j’allais inverser la vapeur et utiliser cette façon pour aider les jeunes élèves à apprendre et conserver leur langue d’origine.»C’est ainsi qu’un recueil de 32 chansons et comptines a vu le jour, accompagné d’une bande sonore sur CD et DVD. Des chansons aux airs connus, allant de Frère Jacques à des airs folkloriques, mais adaptées à la manière algonquine et enregistrées par une équipe technique entièrement locale.Pas moins de 200 copies ont été réalisées dans le cadre du projet et chaque élève de l’école recevra la sienne. Les membres de la communauté qui en expriment le besoin pourront également en obtenir. Selon Julie Mowatt, il est possible que le projet fasse boule de neige et soit éventuellement offert à d’autres communautés.La réalisation du projet a été rendue possible grâce à une contribution financière du ministère de la Culture et des Communication de 6750 $, dans le cadre d’un programme destiné aux communautés autochtones. L’école Migwan a aussi contribué pour rendre le projet possible.
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Le Citoyen |
Quebec |
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Article (FR) |
POUR QUE LA LANGUE ALGONQUINE NE MEURE JAMAIS |
Appelé Nigamou (Chante), le projet est le fruit d’une réflexion de Julie Mowatt, conseillère pédagogique à l’école primaire. «Quand j’étais au pensionnat, on nous a fait beaucoup chanter... En savoir plus
Appelé Nigamou (Chante), le projet est le fruit d’une réflexion de Julie Mowatt, conseillère pédagogique à l’école primaire. «Quand j’étais au pensionnat, on nous a fait beaucoup chanter pour apprendre le français. Je me suis dit que j’allais inverser la vapeur et utiliser cette façon pour aider les jeunes élèves à apprendre et conserver leur langue d’origine.»
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Conseil de la Première Nation Abitibiwinni |
Quebec |
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Ressources pédagogiques |
LANGUE ET CULTURE ANICINAPE |
NIGAMOU : CHANTE !L’École Migwan a dévoilé en février 2017 un tout nouvel outil pédagogique qui favorisera l’apprentissage et la sauvegarde de la langue Anicinape. En effet, un recueil de comptines... En savoir plus
NIGAMOU : CHANTE !L’École Migwan a dévoilé en février 2017 un tout nouvel outil pédagogique qui favorisera l’apprentissage et la sauvegarde de la langue Anicinape. En effet, un recueil de comptines et un CD avec des bandes sonores est maintenant disponible pour les élèves. Le projet « Nigamou », dont la traduction signifie « Chante! », sera utilisé par les enseignantes en langue Anicinape qui incitent les élèves à développer leurs compétences et leurs connaissances.Lors des cours de langue, les élèves auront à leur disposition du nouveau matériel pédagogique sonore et visuel pour faciliter l’acquisition de vocabulaire et vivre des situations d’apprentissage plus enrichissantes et significatives. Les enseignantes pourront dont réaliser des situations d’apprentissage et transférer ces connaissances dans d’autres domaines.FRESQUE ANICINABE OPIMATISI8INLe Conseil de la Première Nation possède une œuvre d’art géante qui s’étend sur 3 murs dans la salle communautaire Minawasi. La nature et la forêt étant au cœur du mode de vie traditionnel des Anicinapek, il n’est pas surprenant d’y retrouver plusieurs éléments de la nature et de ses éléments tels qu’un lever de soleil, la rivière Harricana, la forêt et les étoiles. Les outardes, symbole de persévérance et l’orignal qui incarne la force et l’endurance ont également des places de choix sur la fresque.Sur le mur central, on retrouve un tipi, dont la traduction en algonquin est Pikogan, une Kokom (grand-mère) et sa petite fille ensemble symbolisant la transmission des savoirs aux petits enfants. Le cercle de la vie et ses quatre couleurs fait office de soleil et finalement les ancêtres ont aussi leur place, eux qui symbolisent les racines de la culture, des traditions, du savoir-faire et du savoir-être.« C’est un projet dont nous sommes très fiers! La salle communautaire est un endroit très fréquenté par la communauté, c’est donc un lieu idéal pour mettre en valeur les symboles patrimoniaux qui font partie des traditions et de la culture Anicinape. Ce fut également une belle occasion d’impliquer les jeunes dans un projet favorisant leur sentiment de fierté et d’appartenance, en collaboration avec notre artiste local Harry Wylde, qui était bien heureux de pouvoir transmettre sa passion aux enfants! » termine le Chef du Conseil de la Première Nation Abitibiwinni, David Kistabish.NAPPERONS / VOCABULAIRE ANICINAPE POUR LES 0 À 5 ANSEn collaboration avec l'illustratrice Marie-Claude Thibault, le programme Avenir d'enfants Nikan Apinotcicak a créé 6 magnifiques napperons sous le thème des 6 saisons Anicinape. Chaque napperon plastifié enseigne une quinzaine de mots de vocabulaire et offre des jeux et des recettes pour les enfants au verso. Ces napperons ont été distribués auprès des familles ayant de jeunes enfants à Pikogan. DES ACTIONS POUR TRANSMETTRE LA CULTUREÀ Pikogan, de nombreuses actions sont mises en place pour transmettre la culture aux futures générations. Cliquez sur les images ci-bas pour les découvrirMÉTHODE GREYMORNING : POUR APPRENDRE PLUS RAPIDEMENTLa méthode Greymorning est une méthode accélérée de l’apprentissage d’une langue. Une méthode conçue par Dr Stephen Greymorning de la nation Arapaho du Montana, il est un linguiste et auteur de plusieurs ouvrages.À partir de 15 images, (4 personnages, 4 objets, 4 animaux et 4 moyens de transport) on fait des associations, on ajoute la notion spatiale (sur, sous,..) des verbes, le pluriel etc.. De plus en plus on rajoute des mots pour formuler des phrases. Cette méthode se fait à l’oral.Nous avons également le conjugueur réalisé par Frances Mowatt. Cet outil favorise la formulation des phrases avec un verbe. Nous sommes présentement à élaboration de la grammaire soit le pluriel, le possessif, les objets animés/inanimés. De plus il y a un cahier de chansons et comptines (CD et DVD) qui aide à l’acquisition de la langue. Nous avons aussi un cahier thématique adapté à chaque niveau.L’équipe de langue Anicinape se compose de Frances Mowatt (enseignante en langue ANICINAPE, Sonia Wylde co-enseignante, Julie Mowatt (conseillère pédagogique).
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Conseil de la Première Nation Abitibiwinni |
Quebec |
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Article (FR) |
FRESQUE « IDENTITÉ ET CULTURE AUTOCHTONE » ET DU RECUEIL ET CD DE COMPTINES EN LANGUE ANICINAPE |
Grâce à la participation financière du Fonds culturel de la MRC d’Abitibi, la communauté de Pikogan possède désormais une fresque mettant en valeur les symboles patrimoniaux anicinapek à la salle... En savoir plus
Grâce à la participation financière du Fonds culturel de la MRC d’Abitibi, la communauté de Pikogan possède désormais une fresque mettant en valeur les symboles patrimoniaux anicinapek à la salle communautaire Minawasi. Cette œuvre d’art fut réalisée par l’artiste local Harry Wylde et les enfants de 5e-6e année de l’école Migwan. Cette dernière à quant à elle dévoilé son recueil et CD de comptines en langue anicinape, outil pédagogique qui sera utilisé pour favoriser l’apprentissage et la sauvegarde de la langue en offrant des situations d’apprentissage enrichissantes et significatives pour les élèves.
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Conseil de la Première Nation Abitibiwinni |
Quebec |
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Site web |
Ouverture du NOUVEAU Centre urbain Créa Kitci Amik Pavillon Val-d'Or |
Le Centre Régional d'éducation des adultes (CRÉA) Kitci Amik, de Lac Simon, en collaboration avec le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue, l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) et... En savoir plus
Le Centre Régional d'éducation des adultes (CRÉA) Kitci Amik, de Lac Simon, en collaboration avec le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue, l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) et le Centre de service urbain de Val-d'Or, est heureux d'annoncer l'ouverture de son pavillon urbain à Val-d'Or.
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Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Article (FR) |
Formation des adultes : le centre Kitci Amik de Lac-Simon aura pignon sur rue à Val-d'Or |
Le Centre régional d'éducation des adultes (CRÉA) Kitci Amik de Lac-Simon a maintenant pignon sur rue à Val-d'Or : le Cégep et l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) ont inauguré... En savoir plus
Le Centre régional d'éducation des adultes (CRÉA) Kitci Amik de Lac-Simon a maintenant pignon sur rue à Val-d'Or : le Cégep et l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) ont inauguré le nouveau pavillon urbain en compagnie de la chef de la communauté autochtone située à une trentaine de kilomètres de Val-d'Or.Avec les informations de Guillaume RivestLe nouveau pavillon est situé à un jet de pierre du pavillon des premiers peuples de l'UQAT. Il offrira un espace de formation des autochtones qui vivent en milieu urbain. Les nouvelles infrastructures permettront aussi d'accueillir un plus grand nombre d'étudiants puisque le points de service de Lac-Simon fonctionne à pleine capacité depuis quelques années.Une offre de cours adaptée aux spécificités culturelles.Dès l'automne prochain, le CRÉA Kitci Amik doit accueillir une quinzaine d'étudiants de niveau secondaire et, chose unique au Québec, certains cours seront offerts en anichinabé. Les cultures et traditions des Premiers peuples seront d'ailleurs intégrées à l'offre de cours. Selon le directeur du CRÉA Kitci-Amik, Martin Adam, ce genre d'initiative contribue à rapprocher autochtones et allochtone.« Notre centre, qui est situé ici [va mettre en contact] directement des allochtones et des autochtones, précise M. Adam. On a directement sur place ici le pavillon des premiers peuples, donc il y a vraiment une synergie qui s'installe entre les deux peuples dans cet établissement-là. »Venir ici, c'est facilitant et je pense que ça ne peut qu'améliorer la situation [des relations entre Autochtones et non-Autochtones].Martin Adam, directeur du CRÉA Kitci-AmikLe Cégep et l'UQAT s'impliquent dans le projet pour favoriser le passage des étudiants autochtones aux cycles d'études supérieures.
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ICI Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Site web |
Lindsay Bouchard inspirée par le pavillon urbain |
Adoptée à l’âge de trois ans et entourée d’Allochtones toute sa vie, Lindsay Bouchard espère retrouver ses racines et les siens grâce à son inscription au nouveau pavillon de Val-d’Or du Centre... En savoir plus
Adoptée à l’âge de trois ans et entourée d’Allochtones toute sa vie, Lindsay Bouchard espère retrouver ses racines et les siens grâce à son inscription au nouveau pavillon de Val-d’Or du Centre régional d’éducation des adultes Kitci Amik de Lac-Simon.L’ouverture de ce point de services pour les Premières Nations situé au Centre d’études Lucien-Cliche a été annoncée mercredi. La jeune femme de 26 ans s’y est inscrite pour la première cohorte, à la fin août.«J’ai travaillé cinq ans comme cosméticienne au Jean Coutu du centre-ville. Je désire retourner aux études finir mon secondaire 5 pour assurer mon avenir. J’aimerais aller en Techniques de gestion et de comptabilité par la suite, indique Lindsay Bouchard.
«On m’a parlé du projet d’avoir un local ici à Val-d’Or directement au Cégep. J’ai trouvécela super intéressant», souligne-t-elle.Se rapprocher.Originaire de la communauté atikamekw Wemotaci, près de La Tuque, Lindsay Bouchard a été adoptée à l’âge de trois ans.«J’ai toujours vécu à Val-d’Or. C’est sûr qu’il va toujours y avoir une quête à essayer de retrouver mes racines. Mais ce n’est pas quelque chose qui m’a empêchée d’avancer. Je suis heureuse quand même, confie-t-elle.«J’ai toujours vécu entourée d’Allochtones. Le pavillon à Val-d’Or va me permettre de rencontrer des gens de ma communauté, des Autochtones comme moi. On y donnera des cours de langue atikamekw. Je ne la parle pas du tout. Mais j’aimerais l’apprendre et l’enseigner à mes futurs enfants, souligne la jeune femme.«Après mes études, j’aimerais aller travailler dans une communauté autochtone. Le pavillon de Val-d’Or m’offre cette possibilité d’aller chercher des références et d’entrer en contact avec des Autochtones. Je vais la prendre cette chance, elle m’ouvrira des portes», conclut Lindsay Bouchard.
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Le Citoyen |
Quebec |
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Article (FR) |
Le Centre d’éducation de Lac-Simon ouvre un pavillon à Val-d’Or |
«Cette ouverture représente une fierté pour nous et répond à une demande grandissante. Le point de service se trouve dans les murs du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et du Centre d’études... En savoir plus
«Cette ouverture représente une fierté pour nous et répond à une demande grandissante. Le point de service se trouve dans les murs du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et du Centre d’études Lucien-Cliche. Les classes débuteront le 28 août», a souligné Martin Adam, directeur du CRÉA. Déjà, une quinzaine de personnes se sont inscrites et le pavillon a une capacité d’accueil d’une quarantaine.«Nous sommes le seul Centre au Québec à offrir un cours en langue et culture algonquines approuvé par le ministère de l’Éducation. Au pavillon de Val-d’Or, on retrouvera une classe francophone et une anglophone, et ce, de secondaire 1 à 5», a-t-il ajouté.
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Le Citoyen |
Quebec |
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Programme/École |
Éducation des Adultes Premières Nations |
Le CRÉA Kitci Amik est située dans la communauté anishnabe de Lac Simon dans la région de l'Abitibi. Le CRÉA offre des cours à Val d'Or, entre autres et dessert toutes les communautés de la région.Services... En savoir plus
Le CRÉA Kitci Amik est située dans la communauté anishnabe de Lac Simon dans la région de l'Abitibi. Le CRÉA offre des cours à Val d'Or, entre autres et dessert toutes les communautés de la région.Services offerts en français:
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Centre régional d'éducation des adultes |
Quebec |
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Article (FR) |
UNE PREMIÈRE ÉCOLE AUTOCHTONE D'ÉDUCATION DES ADULTES |
Un premier centre régional Première Nation en éducation des adultes, Kitci Amik, vient d’ouvrir ses portes au Lac-Simon. Déjà plus de 30 étudiants y sont inscrits, et près de 70 personnes sont... En savoir plus
Un premier centre régional Première Nation en éducation des adultes, Kitci Amik, vient d’ouvrir ses portes au Lac-Simon. Déjà plus de 30 étudiants y sont inscrits, et près de 70 personnes sont en processus.Issu d’une collaboration entre des institutions des Premières Nations, dont le Conseil scolaire des Premières Nations en éducation des adultes, mais aussi avec le ministère de l’Éducation du Québec, ce projet de 500 000 $ cette année (et 900 000 $ en frais d'opération par année) s’adresse aux communautés de la région, mais au fil du temps, d’autres adultes d’ailleurs pourront y participer.«On voulait leur offrir un lieu qui leur ressemble et les attire, pour leur permettre de terminer leurs études secondaires et acquérir des outils pour un meilleur avenir», a mentionné Ghislain Picard, chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador.
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Centre de documentation sur l’éducation |
Quebec |
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Programme/École |
LE CAMPUS DE VAL-D’OR LANCE LE PROJET OBAKWADAN |
Une nouvelle initiative voit le jour au campus de Val-d’Or pour favoriser la transition entre le secondaire et le collégial pour les étudiants des Premières Nations : le projet pilote Obakwadan, également... En savoir plus
Une nouvelle initiative voit le jour au campus de Val-d’Or pour favoriser la transition entre le secondaire et le collégial pour les étudiants des Premières Nations : le projet pilote Obakwadan, également nommé DES-10. « Depuis deux ans, le Cégep a intensifié sa collaboration avec le Centre régional d’éducation des adultes Kitci-Amik de Lac Simon (CRÉA Kitci-Amik), une communauté algonquine située près de Val-d’Or. Avec lui, nous avons mis en place une nouvelle façon de faire pour améliorer la réussite de nos jeunes Autochtones », explique le directeur général du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, Sylvain Blais. « L’objectif est de permettre à un plus grand nombre d’étudiants des Premières Nations qui présentent un intérêt pour les études collégiales d’intégrer celles-ci à leur formation au secondaire et ainsi d’optimiser la réussite de ces jeunes et leur intégration chez nous », précise-t-il.
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Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Article (FR) |
Une première école autochtone d'éducation des adultes |
La toute première école d'éducation des adultes en milieu autochtone, le Centre Kitci Amik, a été inaugurée jeudi, dans la communauté algonquine de Lac Simon.
Une trentaine d'étudiants ont commencé... En savoir plus
La toute première école d'éducation des adultes en milieu autochtone, le Centre Kitci Amik, a été inaugurée jeudi, dans la communauté algonquine de Lac Simon.
Une trentaine d'étudiants ont commencé leurs cours il y a trois semaines. « C'est le premier centre des adultes au Québec chez les Premières Nations, donc nous avons le devoir d'accueillir aussi les étudiants des autres Premières Nations », explique la chef de la communauté de Lac Simon, Salomé McKenzie.
L'établissement a coûté près d'un demi-million de dollars.
Il est le fruit d'une réflexion amorcée en 2006 lors du Forum socioéconomique des Premières Nations à Mashteuiatsh.
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ICI Radio-Canada |
Quebec |
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Article (FR) |
COUP DE CŒUR POUR JEUNES MUSICIENS DU MONDE KITCISAKIK! |
Certains projets réalisés dans le cadre du Fonds pour la persévérance scolaire des jeunes autochtones ont reçu la mention Coup de cœur du CTREQ et de son partenaire Québec en forme.Avec le consentement... En savoir plus
Certains projets réalisés dans le cadre du Fonds pour la persévérance scolaire des jeunes autochtones ont reçu la mention Coup de cœur du CTREQ et de son partenaire Québec en forme.Avec le consentement de l’organisme Réunir Réussir, initiateur du Fonds, le CTREQ a octroyé des sommes additionnelles à ces projets afin de permettre leur prolongation ou leur implantation dans d’autres communautés.Dans ce premier article, nous vous présentons le projet Coup de cœur Jeunes musiciens du monde Kitcasikik qui a obtenu un financement prolongé en raison de son potentiel d’implantation dans une autre communauté. Rappelons que l’approche développée par Jeunes musiciens du monde consiste à utiliser la musique pour favoriser le développement social des jeunes de milieux à risque.Faciliter la transition du primaire au secondaireJeunes musiciens du monde offre des cours de musique gratuits ainsi qu’un accompagnement personnalisé aux élèves du primaire dans la communauté de Kitcisakik. Dans cette communauté algonquine de l’Abitibi-Témiscamingue, la plupart des jeunes doivent quitter leur communauté pour poursuivre leurs études secondaires à Val-d’Or. Le projet consiste à implanter l’approche Jeunes musiciens du monde à l’école secondaire Le Transit et à la Polyvalente Le Carrefour de Val-d’Or, afin d’assurer une continuité dans l’accompagnement des jeunes et de faciliter leur transition et leur intégration dans un nouveau milieu scolaire.L’implantation de l’approche Jeunes musiciens du monde à Val-d’Or comporte deux volets (l’apprentissage de la musique et le développement personnel) assortis d’actions à réaliser.Apprentissage de la musique
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Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec. |
Quebec |
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Article (FR) |
Jeunes musiciens du monde - Artistes et organisateurs à l'unisson |
Au fil des ans, l'engouement des artistes ne se dément pas et pour la neuvième année, ils sont de retour ce soir au Club Soda pour contribuer au financement des quatre écoles de musique mises en place... En savoir plus
Au fil des ans, l'engouement des artistes ne se dément pas et pour la neuvième année, ils sont de retour ce soir au Club Soda pour contribuer au financement des quatre écoles de musique mises en place en Inde et au Québec par les Jeunes musiciens du monde (JMM).
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Le Devoir |
Quebec |
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Vidéos |
Jeunes musiciens du monde, Kitcisakik |
Jeunes Musiciens du Monde (JMM), implanté en 2008 à Kitcisakik, un organisme à vocation sociale, vise à favoriser
l'épanouissement des jeunes issus de milieux populaires en développant des écoles... En savoir plus
Jeunes Musiciens du Monde (JMM), implanté en 2008 à Kitcisakik, un organisme à vocation sociale, vise à favoriser
l'épanouissement des jeunes issus de milieux populaires en développant des écoles de musique axées sur leur culture : des
cours de musique, des activités d’expression musicale et un accompagnement personnalisé leur sont offerts gratuitement. Ces
écoles tiennent compte des défis que rencontrent les jeunes de milieux défavorisés travaillant sur les facteurs psychosociaux et
environnementaux ayant un impact sur le développement global des jeunes. L'approche de JMM est axée sur l'apprentissage
musical, le développement personnel de l'élèves ainsi que le développement social dans la communauté. Les cours sont offerts
durant les heures régulières de classe.
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Beaudet, M. (2009). |
Quebec |
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Article (FR) |
Sarah-Jane Bouchard, porte-parole du programme Reconnaissance et modèles autochtones du Centre de service urbain de Val-d'Or |
Le Centre de service urbain de Val-d'Or (CSU) a présenté son programme Reconnaissance et modèles autochtones, dans le but d'inspirer la jeunesse des communautés. Grâce à son parcours inspirant, Sarah-Jane... En savoir plus
Le Centre de service urbain de Val-d'Or (CSU) a présenté son programme Reconnaissance et modèles autochtones, dans le but d'inspirer la jeunesse des communautés. Grâce à son parcours inspirant, Sarah-Jane Bouchard, de la nation atikamekw de Wemotaci, est la nouvelle ambassadrice du programme.
Sarah-Jane Bouchard a rencontré plusieurs obstacles au cours de sa vie. Adoptée par une famille de Val-d’Or, elle affirme avoir vécu l’abandon, le racisme et la discrimination.
Elle met les pieds au Centre de services urbain de Val-d’Or (CSU) pour la première fois en 2011, où elle souhaite être aiguillée et informée sur les mesures à prendre pour terminer ses études secondaires. « Je voulais trouver une formation adéquate pour moi. Dès le départ, ils m’ont proposé de nombreux programmes, m’ont fait faire des tests afin de voir dans quel domaine je pourrais m’adapter », explique-t-elle. C’est à travers ces démarches qu’elle découvre sa passion pour le dessin industriel.
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ICI Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Organisation/Centre (FR) |
Centre d’innovation des Premiers Peuples |
a) Innovation – Nous cherchons à expérimenter de nouvelles façons de faire et nous servons de véhicule favorisant le transfert de connaissances.
b) Fierté Identitaire – Nous croyons que la... En savoir plus
a) Innovation – Nous cherchons à expérimenter de nouvelles façons de faire et nous servons de véhicule favorisant le transfert de connaissances.
b) Fierté Identitaire – Nous croyons que la valorisation de la fierté identitaire constitue l’un des plus grands gages de la réussite et du dépassement.
c) Mixité socio-culturelle – Bien que les actions du CIPP soient faites par et pour les Premiers Peuples, nous croyons que l’ouverture aux autres enrichit et contribue à la réconciliation durable et authentique.
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Centre d’innovation des Premiers Peuples |
Quebec |
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Organisation/Centre (FR) |
Cercle Onaki, Centre d’innovation des Premiers Peuples |
Le Centre d’innovation des Premiers Peuples (CIPP) a comme mission de promouvoir la mise en œuvre de projets innovateurs qui répondent aux aspirations des peuples autochtones qui vivent tant en milieu... En savoir plus
Le Centre d’innovation des Premiers Peuples (CIPP) a comme mission de promouvoir la mise en œuvre de projets innovateurs qui répondent aux aspirations des peuples autochtones qui vivent tant en milieu urbain qu’au sein des communautés. Le centre s’adresse à des personnes autochtones et allochtones qui désirent mettre en place des projets à caractère transformatif sur le plan social pour faire face aux défis rencontrés au sein des communautés autochtones. Plusieurs projets existent au sein des organisations, mais les Cercles Onaki est une initiative qui retient notre attention.Les Cercles Onaki visent à mieux faire connaître la culture et les valeurs des Premiers Peuples et aussi de valoriser la culture et la fierté identitaire des élèves à risque. Des activités d’échanges ont été mises en place au sein de deux écoles de la région sur une base hebdomadaire pour susciter des échanges entre les cultures et une meilleure connaissance mutuelle. Différentes activités ont été présentées, telles que la préparation de la bannique, la confection d’un capteur de rêves, d’objets tels que le tambour, le perlage, des rencontres avec des aînés autochtones, des ateliers de chants, des expériences emploi d’été pour des jeunes autochtones, etc.
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Centre d’Innovation des Premiers Peuples |
Quebec |
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Programme/École |
Programme d’aide aux devoirs Mohiganech |
Les parents et leur enfant de 6 à 12 ans peuvent s’inscrire au Club des Petits Loups Mohiganech.Le Club vise à assurer le développement des compétences parentales, à faire la promotion de la culture... En savoir plus
Les parents et leur enfant de 6 à 12 ans peuvent s’inscrire au Club des Petits Loups Mohiganech.Le Club vise à assurer le développement des compétences parentales, à faire la promotion de la culture et des langues autochtones et à améliorer les compétences de lecture, d’écriture et de calculs des parents et des enfants. L’initiative d’aide aux devoirs s’insère dans la panoplie des activités en littératie familiale offertes via le CAAVD.
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Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine |
Quebec |
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Programme/École |
Le Programme d’aide préscolaire aux Autochtones |
Le Programme d'aide préscolaire aux Autochtones (PAPA) s'adresse aux jeunes enfants autochtones de 0-4 ans ainsi qu'à leurs parents. Le programme comprend des activités éducatives à la petite enfance... En savoir plus
Le Programme d'aide préscolaire aux Autochtones (PAPA) s'adresse aux jeunes enfants autochtones de 0-4 ans ainsi qu'à leurs parents. Le programme comprend des activités éducatives à la petite enfance et des activités culturelles, sociales et sportives parents-enfants. Le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or (CAAVD) souhaite également que les jeunes enfants aient une image positive d’eux-mêmes en tant qu’autochtones. Pour y parvenir les animatrices et animateurs suscitent l’enthousiasme d’apprendre chez les jeunes et développent des partenariats avec les parents dans un contexte culturel amusant et agréable.
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Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine |
Quebec |
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Journal (FR) |
Le Cahier du Centre, vol. 26, no. 3, septembre |
Bulletin d'information du Centre d'amitié autochtone de Val-d'Or
Bulletin d'information du Centre d'amitié autochtone de Val-d'Or
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Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or |
Quebec |
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Ressources pédagogiques |
Trousse Gabriel-Commanda |
Le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or est fier d’offrir aux écoles une trousse pédagogique destinée aux élèves des niveaux primaire et secondaire. Cette initiative vise la découverte des... En savoir plus
Le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or est fier d’offrir aux écoles une trousse pédagogique destinée aux élèves des niveaux primaire et secondaire. Cette initiative vise la découverte des Premiers Peuples et se veut une sensibilisation à la discrimination raciale. Ainsi, les élèves seront introduits à des éléments des cultures des Premiers Peuples et seront amenés à apercevoir la notion de racisme comme une construction sociale plutôt que comme un comportement inné. En adoptant une attitude positive, les jeunes peuvent concrètement contribuer à l’organisation d’un vivre-ensemble davantage harmonieux. Ils pourront parallèlement véhiculer librement leurs connaissances, expérimenter leur première action citoyenne et exercer une influence sur leur entourage. Les activités contenues dans la trousse ont été conçues d’une façon ludique pour le niveau primaire et d’une façon interactive pour le niveau secondaire. Nous encourageons les enseignants à adapter les activités à leurs milieux. Ce document sert également à mettre en contexte la Semaine pour l’élimination de la discrimination raciale qui a lieu chaque année en mars et la Marche Gabriel-Commanda où, depuis 2001, des centaines de personnes se réunissent pour favoriser un vivre-ensemble harmonieux.
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Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or |
Quebec |
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Article (FR) |
Initiatives du Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or |
Le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or, carrefour de services urbain et organisation sans but lucratif fondée en 1974, a pour mission le mieux-être, la justice et l’inclusion sociale des Autochtones... En savoir plus
Le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or, carrefour de services urbain et organisation sans but lucratif fondée en 1974, a pour mission le mieux-être, la justice et l’inclusion sociale des Autochtones tout en favorisant la cohabitation harmonieuse entre les peuples. Quatre programmes en lien avec l’éducation autochtone, selon différents groupes d’âges et/ou objectifs, sont brièvement présentés : le programme d’aide préscolaire aux Autochtones, le programme d’aide aux devoirs, le Centre de développement des compétences ainsi que la trousse pédagogique Gabriel-Commanda outil destiné aux écoles primaires et secondaires de la région abitibienne.
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Ici Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Article (FR) |
Le chemin de mes rêves, nouveau projet de Stanley Vollant |
Après Innu Meshkenu, cette grande marche de 6 000 km entreprise en 2010 à travers les communautés autochtones du Québec, le Dr Stanley Vollant met sur pied Puanum Meshkenu - le Chemin des mille rêves... En savoir plus
Après Innu Meshkenu, cette grande marche de 6 000 km entreprise en 2010 à travers les communautés autochtones du Québec, le Dr Stanley Vollant met sur pied Puanum Meshkenu - le Chemin des mille rêves - afin d'inspirer et d'appuyer les Premières Nations dans le développement de leur potentiel mental, spirituel, physique et émotionnel.Pour l'appuyer dans ce projet, Québec a annoncé la semaine dernière l'octroi d'une somme de 300 000 $. Michel Plourde s'est entretenu avec le Dr Stanley Vollant au sujet de ce nouveau projet.
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ICI Première |
Quebec |
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Organisation/Centre (FR) |
Projets Innu Mesheknu et Puanum Meshekenu (Dr Stanley Vollant) |
Le projet Innu Meshkenu est d'abord et avant tout, celui du Dr Stanley Vollant, innu de Pessamit et premier chirurgien autochtone de la province de Québec. Dr Vollant est l'instigateur des Mini-écoles... En savoir plus
Le projet Innu Meshkenu est d'abord et avant tout, celui du Dr Stanley Vollant, innu de Pessamit et premier chirurgien autochtone de la province de Québec. Dr Vollant est l'instigateur des Mini-écoles de la santé des Premières Nations, un projet inspiré du modèle ontarien, qu'il développe à titre de coordinateur du volet autochtone de la Faculté de Médecine de l'Université de Montréal, en collaboration avec les étudiants du Groupe d’intérets sur la santé autochtone (GISA). Depuis 2010, il a élargi son action en l’intégrant dans un modèle holistique de promotion de la santé et de la persévérance scolaire, à travers le projet Innu Meshkenu, chemin participatif, rassembleur et étalé sur plus de 6000 kilomètres à travers les communautés autochtones du territoire Québécois. Il vise notamment à nourrir les rêves des jeunes en leur redonnant confiance, en valorisant leurs cultures et en les encourageant dans la poursuite de leurs études. Les rencontres occasionnées avec les Aîné.e.s permettent également de recueillir de précieuses connaissances sur les médecines traditionnelles et de faciliter l’établissement des ponts entre les membres des différentes cultures autochtones, mais également allochtones. Le projet Innu Mesheknu prévoit non seulement un défi inclusif pour tous les habitants des communautés et villes visitées, tant autochtones qu'allochtones, lesquels sont invités à se joindre à la marche Innu Meshkenu dans le respect des capacités physiques et les disponibilités de chacun, mais également la production et diffusion de matériel pédagogique culturellement adapté (bande dessinée, cahiers d'activités, trousse pédagogique, etc.) La fin du projet Innu Meshkenu a ouvert sur la fondation, en 2016, de l'organisme le Puanum Meshekenu ou le Chemin des milles rêves, lequel poursuit des objectifs similaires et aspire à encourager le développement du plein potentiel mental, spirituel, physique et émotionnel des Premières Nations et des Inuit. L'organisme à but non lucratif, dont le nom est inspiré du bâton de marche du Dr Stanley Vollant qui a recueilli plus de 15 000 rêves au fil des rencontres et des milliers de kilomètres parcourus, a notamment reçu l'appui financier du gouvernement du Québec, de l'ordre de 300 000$.
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Puamun Meshkenu |
Quebec |
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Article (FR) |
3e édition du colloque sur la persévérance et la réussite scolaires chez les Premiers Peuples. |
Plus de 65 ateliers se tiennent pendant trois jours à Québec pour discuter de la persévérance et de la réussite scolaires chez les Premiers Peuples.
Cette troisième édition vise à impliquer... En savoir plus
Plus de 65 ateliers se tiennent pendant trois jours à Québec pour discuter de la persévérance et de la réussite scolaires chez les Premiers Peuples.
Cette troisième édition vise à impliquer tous les milieux pour permettre une amélioration des conditions d'apprentissages des étudiants des Premiers Peuples. Pour cela, les organisateurs misent sur le partage d'expériences entre Autochtones et non Autochtones, de données et de recherches sur la prévention et le travail en équipe.
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ICI Québec |
Quebec |
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Organisation/Centre (FR) |
Salon Uatik, Université de Montréal |
Le Salon Uatik est un espace culturellement sécuritaire destiné aux étudiants autochtones de l’Université de Montréal dans lequel est
concentrée, depuis 2015, une offre de services culturellement... En savoir plus
Le Salon Uatik est un espace culturellement sécuritaire destiné aux étudiants autochtones de l’Université de Montréal dans lequel est
concentrée, depuis 2015, une offre de services culturellement adaptés. Parmi ceux-ci, citons la présence d’agents de liaison autochtones, la
disponibilité de postes informatiques et d’impression, d’un espace de socialisation ainsi que d’une petite bibliothèque thématique,
l’organisation d’activités et conférences ponctuelles ou récurrentes (artisanat, Aînés, discussion, etc.), le référencement à des services de
soutien scolaire gratuits, etc. Plusieurs des activités du Salon Uatik sont organisées en collaboration avec le Cercle Ok8api, groupe d’intérêt
autochtone ainsi que le programme en Études autochtones (certificat et module).
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Université de Montréal |
Quebec |
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Rapport |
Imaginer les enjeux futurs de la recherche : Les Premiers Peuples et la recherche au Canada. Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue |
Rapport de la rencontre organisée avec des étudiants des 2e et 3e cycles de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue qui travaillent sur des enjeux autochtones Présenté au Conseil de recherche... En savoir plus
Rapport de la rencontre organisée avec des étudiants des 2e et 3e cycles de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue qui travaillent sur des enjeux autochtones Présenté au Conseil de recherche en sciences humaines du Canada et à l’Association canadienne pour les études supérieures
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UQAT |
Quebec |
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Article (FR) |
Investissement de 5,28 millions de dollars dans les infrastructures de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue pour favoriser les activités de recherche et l'innovation |
Le 12 janvier 2017 — Val d'Or (Québec) — Innovation, Sciences et Développement économique Canada
Le gouvernement du Canada et le gouvernement du Québec investiront 5,28 millions de dollars dans... En savoir plus
Le 12 janvier 2017 — Val d'Or (Québec) — Innovation, Sciences et Développement économique Canada
Le gouvernement du Canada et le gouvernement du Québec investiront 5,28 millions de dollars dans l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Ces fonds permettront à l'Université de dispenser la formation requise pour que ses étudiants occupent les emplois bien rémunérés actuels et futurs de la classe moyenne.
Les fonds fédéraux sont octroyés par l'entremise du Fonds d'investissement stratégique pour les établissements postsecondaires, qui vise à permettre aux campus canadiens d'améliorer et de moderniser leurs installations de recherche et d'en rehausser la viabilité environnementale.
La contribution du gouvernement du Québec s'inscrit quant à elle dans le Plan québécois des infrastructures, qui prévoit des investissements dans tous les secteurs d'activité économique, notamment l'enseignement supérieur.
Des fonds ont été attribués à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue pour qu'elle puisse agrandir le Pavillon des Premiers-Peuples du campus de Val-d'Or. Depuis son inauguration en 2009, le Pavillon des Premiers-Peuples joue un rôle majeur et grandissant pour ce qui est de dispenser de la formation aux étudiants des Premières Nations et de mener des recherches sur les enjeux et les préoccupations des Autochtones.
L'investissement fédéral-provincial de 5,28 millions de dollars pour ce projet sera réparti comme suit :
le gouvernement du Canada versera 2,05 millions de dollars
le gouvernement du Québec versera 3,23 millions de dollars.
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Gouvernement du Canada |
Quebec |
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Programme/École |
Matinamagewin (le partage), Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue -Service de la formation continue |
Matinamagewin (Le partage) est une formation continue offerte à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue qui fait suite à la formation Piwaseha (ou équivalente). Cette formation est ouverte... En savoir plus
Matinamagewin (Le partage) est une formation continue offerte à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue qui fait suite à la formation Piwaseha (ou équivalente). Cette formation est ouverte au personnel en milieu scolaire qui travaille auprès de populations autochtones. L’objectif général de la formation est de favoriser le développement et d’améliorer les compétences culturelles du personnel scolaire travaillant en contexte autochtone. Cette formation a également pour but de créer un climat propice aux apprentissages ainsi qu’à la réussite des étudiants autochtones. Matinamagewin a également pour objectif d’améliorer la communication et la collaboration entre les divers acteurs touchés par l’éducation des jeunes, soit la famille, l’école et la communauté.
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Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Enseignants, Formation, Développement professionnel |
Programme/École |
École adultes créa kitci amik |
Les valeurs, les orientations et la réussite éducative de chaque élève sont les éléments fondamentaux qui guident chacune des actions posées dans les centres de la formation générale des adultes.... En savoir plus
Les valeurs, les orientations et la réussite éducative de chaque élève sont les éléments fondamentaux qui guident chacune des actions posées dans les centres de la formation générale des adultes. L’élève est au centre des interventions au niveau du conseil scolaire en éducation des adultes des premières nations.LES ORIENTATIONS :Instruire : Proposer un environnement pédagogique motivant afin de maximiser l’engagement de l’élève dans ses apprentissages.Qualifier : Assurer une progression continue des élèves dans leur apprentissage dans le but de les qualifier.Socialiser : Établir des liens fonctionnels avec la famille et les organismes de la communauté.En formation générale adulte, la réussite éducative consiste à ce que chaque élève développe ses compétences, ses habiletés et ses aptitudes en vue d’intégrer activement la société. Les élèves, leur famille, les membres du personnel et la communauté contribuent à cette réussite en assumant leurs responsabilités, et ce, dans le respect des différences.Afin de favoriser cette réussite, des activités pédagogiques, ateliers et conférences sont organisés. De plus, l’élève a à sa disposition différents services d’aide pour l’accompagner dans son parcours scolaire et sa situation personnelle. Enfin, s’il rencontre des difficultés, une intervention graduée peut être mise en place.
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Conseil de la nation Anishnabe du Lac Simon. |
Quebec |
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Article (FR) |
Le ministre Geoffrey Kelley offre son appui financier aux Jeunes musiciens du monde. |
Québec, le 1er juin 2012 – Le ministre responsable des Affaires autochtones, M. Geoffrey Kelley, annonce une contribution financière de 48 500 $ à l’école Jeunes musiciens du monde de Kitcisakik.«... En savoir plus
Québec, le 1er juin 2012 – Le ministre responsable des Affaires autochtones, M. Geoffrey Kelley, annonce une contribution financière de 48 500 $ à l’école Jeunes musiciens du monde de Kitcisakik.« La jeunesse représente 75 % de cette communauté algonquine qui fait face à de nombreux problèmes sociaux.Lui venir en aide est donc une priorité pour nous. D’autant plus qu’il a été démontré que ces écoles, présentes dans plusieurs villes du Québec ainsi qu’en Inde, ont des effets positifs sur les jeunes, des effets qui vont bien au-delà de l’acquisition de connaissances et le développement d’aptitudes musicales », a-t-il soutenu.Basé sur une approche pédagogique alternative, le programme Jeunes musiciens du monde offre, chaque semaine, 35 heures d’activités musicales et d’accompagnement personnalisé aux jeunes algonquins de l’école primaire Mikizicec, située dans la communauté de Kitcisakik, en Abitibi-Témiscamingue. Grâce à l’enseignement de la musique, le programme vise à lutter contre le décrochage scolaire et à inciter les élèves à se dépasser.Depuis sa création en 2008, des changements importants sont observés chez les élèves, tant en termes d’épanouissement personnel que sur le plan de leur apprentissage. Non seulement leur intérêt envers la musique et les autres matières scolaires a augmenté, mais ils ont acquis un plus grand sentiment d’appartenance envers leur milieu scolaire et ils ont développé une meilleure estime d’eux-mêmes. Une soixantaine d’élèves par année profitent du programme.Le ministre responsable des régions de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, et député d’Abitibi-Est, M. Pierre Corbeil, se réjouit de cet investissement : « Jeunes musiciens du monde est un programme dynamique qui contribue à motiver les élèves à poursuivre leur cheminement scolaire. L’école de la communauté de Kitcisakik est unique, elle favorise le sentiment d’appartenance et la maitrise de la langue algonquine par la composition de musique. Je suis très fier que le gouvernement du Québec soutienne un tel organisme ».Le soutien du Secrétariat aux affaires autochtones permettra notamment aux différents intervenants du milieu de se concerter en vue d’organiser des activités regroupant les jeunes, les parents et les aînés de la communauté. « En créant, au moyen de la musique, un lieu d’échange entre les générations, le programme Jeunes musiciens du monde maintient un milieu culturel vivant et dynamique en plus de raviver au sein de la population la fierté de leur identité autochtone. Le plus important, c’est de faire cheminer les jeunes, de les aider à relever leurs défis et de les accompagner afin de leur donner confiance en eux », conclut le ministre Geoffrey Kelley.Tous les ans, les écoles des Jeunes musiciens du monde organisent des fêtes de fin d’année où les élèves présentent le résultat de leur apprentissage.Pour en savoir davantage sur les Jeunes musiciens du monde, consultez leur site Internet à l’adresse suivante
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Secrétariat aux affaires autochtones. QC |
Quebec |
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Article (FR) |
Du cirque du Soleil... |
Les Jeunes musiciens du monde de Kitcisakik ont une nouvelle professeure et directrice artistique. Elle se nomme Gabrielle Cloutier. Avant de se joindre à eux, elle a notamment travaillé avec le Cirque... En savoir plus
Les Jeunes musiciens du monde de Kitcisakik ont une nouvelle professeure et directrice artistique. Elle se nomme Gabrielle Cloutier. Avant de se joindre à eux, elle a notamment travaillé avec le Cirque du Soleil.La jeune femme a parlé de son parcours fort intéressant et de ses objectifs avec Jeunes musiciens du monde à l'équipe du Radio magazine, lundi.Récemment, notre collègue Claude Bouchard s'est rendue à Kitcisakik pour rencontrer les Jeunes musiciens du monde. Voici son reportage.
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ICI Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Vidéos |
Enfants de l’école de Jeunes musiciens du monde à Kitcisakik à l’émission Studio 12. |
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Jeunes musiciens du monde. (2011) |
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Article (FR) |
Une nouvelle stratégie pour augmenter l'employabilité des Autochtones dans la Vallée-de-l'Or |
Des formations et stages seront notamment offerts aux participants, en collaboration avec plusieurs partenaires, dont l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et la Chambre de commerce de Val-d'Or.... En savoir plus
Des formations et stages seront notamment offerts aux participants, en collaboration avec plusieurs partenaires, dont l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et la Chambre de commerce de Val-d'Or. Les autochtones font partie de la solution à la pénurie de main-d'œuvre clame la directrice du Centre d'amitié autochtone de Val-d'Or, Édith Cloutier. « C'est une stratégie qui va offrir plusieurs parcours d'enrichissement des compétences afin d'arrimer les autochtones qui ont des compétences, aux besoins du marché du travail », souligne-t-elle.
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ICI Abitibi-Témiscamingue |
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Article (FR) |
300 000 $ pour le « Chemin des mille rêves » : la marche de Stanley Vollant se poursuit |
QUÉBEC, le 28 juin 2017 /CNW Telbec/ - Le Dr Stanley Vollant reprend son bâton de marche, un bâton qui a parcouru 6000 km à travers les communautés autochtones du Québec et accueilli plus de 15 000... En savoir plus
QUÉBEC, le 28 juin 2017 /CNW Telbec/ - Le Dr Stanley Vollant reprend son bâton de marche, un bâton qui a parcouru 6000 km à travers les communautés autochtones du Québec et accueilli plus de 15 000 rêves, pour continuer d'inspirer les jeunes autochtones. Grâce au soutien du gouvernement du Québec, Dr Vollant met sur pied Puamun Meshkenu (Chemin des mille rêves), un organisme à but non lucratif ayant pour mission d'inspirer et d'appuyer les Premières Nations et Inuits afin qu'ils tracent leur propre « chemin des mille rêves » par le développement de leur plein potentiel mental, spirituel, physique et émotionnel.Cette aide financière, annoncée ce matin par le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, et le ministre responsable des Affaires autochtones, Geoffrey Kelley, permettra de créer une organisation indépendante et permanente, nécessaire pour multiplier les actions directes auprès des communautés autochtones. Cet organisme est la continuité logique du projet Innu Meshkenu, débuté en 2010, qui a marqué de façon fondamentale la vie de nombreux jeunes autochtones et créé un mouvement structurant pour l'ensemble des communautés autochtones du Québec. Ce projet a d'ailleurs fait l'objet récemment d'un documentaire intitulé « De Compostelle à Kuujjuaq ».« Le chemin des peuples autochtones est parsemé d'embûches et de pièges. Mais, il y a aussi des rêves, des milliers de rêves, qui méritent d'exister et qui n'ont souvent besoin que d'un coup de pouce, d'une inspiration, pour pouvoir se réaliser. Je suis heureux de pouvoir poursuivre le mien, celui de soutenir les jeunes autochtones à poursuivre leurs aspirations », a déclaré Dr Stanley Vollant.
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Puamun Meshkenu - Chemin des mille rêves |
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Article (FR) |
MAMU!: Le seul Salon Emploi Autochtone au Québec |
Le Salon de l'emploi autochtone est une initiative annuelle organisée à Montréal depuis 2010 par le Cercle de l'éducation et de l'employabilité du RÉSEAU pour la stratégie urbaine de la communauté... En savoir plus
Le Salon de l'emploi autochtone est une initiative annuelle organisée à Montréal depuis 2010 par le Cercle de l'éducation et de l'employabilité du RÉSEAU pour la stratégie urbaine de la communauté autochtone de Montréal ainsi que le Centre de service urbain de Montréal de la Commission de développement des ressources humaines des Premières Nations du Québec (CDRHPNQ). Le mot Mamu, qui signifie ensemble en langue innue, vise à offrir une visibilité aux opportunités d'emploi, mais également de formation et d'études disponibles à la communauté autochtone. Il aspire ainsi à occasionner un rapprochement entre les différents employeurs, institutions postsecondaires, centres de formation, organisations communautaires ainsi que les futurs étudiants et chercheurs d'emploi. Montréal, 10 mars 2016 – En partenariat avec le Cercle de l'éducation et de l'employabilité du RÉSEAU pour la Stratégie urbaine de la communauté autochtone à Montréal, le Centre de service urbain de Montréal de la Commission de développement des ressources humaines des Premières Nations du Québec (CDRHPNQ) a le plaisir de vous inviter à la 6e édition de MAMU! Salon Emploi Autochtone qui se tiendra mercredi, le 16 mars 2016 de10h à 17h à la salle 2F.4 du Collège Dawson. MAMU! Veut dire ensemble en langue innue, cet événement unique au Québec ont pour objectif d'éliminer les barrières existantes à l'intégration des autochtones au marché du travail, de promouvoir les programmes et les opportunités en matière d'emploi, de formation et d'éducation disponibles à la communauté autochtone. L'événement est un succès depuis 2010 qui contribue à créer des liens avec des employeurs, des centres de formations, des organisations communautaires autochtones et non-autochtones, des étudiants et des chercheurs d'emplois. Lors de MAMU! Salon Emploi Autochtone, les visiteurs pourront rencontrer les employeurs et s'inspirer des histoires à succès de nos invités d'honneur. Ils pourront participer aux activités de réseautage et avoir la chance de gagner une tablette électronique. Nos invités d'honneur composés de Ghislain Picard, Chef de l'Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Francine Buckell, directrice de la Stratégie urbaine de la CDRHPNQ, Nakuset, Co-présidente du RÉSEAU, Delbert Sampson, aîné Shuswap de la Colombie-Britannique, feront partie de la programmation parmi d'autres. Travaillons ensemble pour l'avenir! Est notre slogan et venez vous joindre à nous. -30
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Commission de développement des ressources humaines des Premières Nations du Québec |
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Programme/École |
Services aux étudiants |
Vous êtes un étudiant autochtone et vous avez besoin de conseils ou d’aide à votre arrivée à l’UdeM? Vous souhaitez être en contact avec d’autres étudiants autochtones? Vous désirez connaitre... En savoir plus
Vous êtes un étudiant autochtone et vous avez besoin de conseils ou d’aide à votre arrivée à l’UdeM? Vous souhaitez être en contact avec d’autres étudiants autochtones? Vous désirez connaitre les possibilités de soutien financier qui vous sont destinées et les autres ressources? N’hésitez pas à venir nous rencontrer au Salon Uatik! "Pour faciliter notre prise de contact avec vous, si vous avez omis de vous auto-identifier sur le formulaire d’admission, il est possible de le faire en tout temps en vous rendant sur le site du Bureau du registraire.Pour faciliter notre prise de contact avec vous, si vous avez omis de vous auto-identifier sur le formulaire d’admission, il est possible de le faire en tout temps en vous rendant sur le site du Bureau du registraire."
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Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue |
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Article (FR) |
Une exposition flamboyante à l’occasion de la semaine autochtone à l’UdeM |
L’Université de Montréal accueille l’exposition REGALIA, Fierté autochtone au pavillon 3200, rue Jean-Brillant jusqu’au 22 septembre. Cette exposition itinérante est l’œuvre du photographe... En savoir plus
L’Université de Montréal accueille l’exposition REGALIA, Fierté autochtone au pavillon 3200, rue Jean-Brillant jusqu’au 22 septembre. Cette exposition itinérante est l’œuvre du photographe Roland Lorente et de la rédactrice Aline Saffore. Sur une période de cinq ans, le couple a parcouru l’Est canadien sur quelque 10 000 km et assisté à plus de 20 pow-wow. Le résultat est une série saisissante de 30 œuvres photographiques, des tableaux imposants où l’on voit en action les danseurs vêtus de leur tenue cérémonielle (regalia) portée lors des pow-wow. Les photos sont prises avec suffisamment de proximité pour qu’on puisse apprécier le détail de ces vêtements uniques souvent confectionnés par les danseurs eux-mêmes, qui servent à les distinguer et qui sont remplis de symbolisme. Pour chaque danseur pris en photo, les artistes présentent son portrait en tenue de tous les jours. Au centre de ces deux images, pour faire le pont, on trouve un témoignage sur le sens donné au pow-wow, à sa tenue de cérémonie et aux cultures autochtones. Issus de 14 communautés de l’est du Canada, les danseurs sont des hommes, des femmes, des enfants d’âge primaire. Des autochtones qui pratiquent l’art de la danse depuis toujours, des survivants des pensionnats autochtones et d’autres qui ne se sont que récemment approprié leur culture.
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Université de Montréal |
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Sous le signe du rassemblement |
La première édition des activités d’accueil du salon Uatik pour les étudiants autochtones a eu lieu sur le campus du 29 août au 2 septembre derniers. Cette initiative, dont l’objectif est de sensibiliser... En savoir plus
La première édition des activités d’accueil du salon Uatik pour les étudiants autochtones a eu lieu sur le campus du 29 août au 2 septembre derniers. Cette initiative, dont l’objectif est de sensibiliser la communauté universitaire aux cultures des Premières Nations, Inuits et Métis, s’ajoute aux différentes activités développées depuis l’ouverture de la mineure et du module en études autochtones à la session d’hiver 2015. À la rencontre des Premières Nations était le thème officiel de la rentrée autochtone 2016. Les activités, ouvertes à tous, comprenaient notamment une série de conférences, un pow-wow sur la Place de la Laurentienne et une dégustation de mets traditionnels. « Il s’agit d’une occasion de se rassembler pour célébrer la rentrée scolaire et montrer à la communauté universitaire qu’il y a des étudiants autochtones ici », explique l’agente de liaison du salon Uatik et étudiante aux certificats en gestion de la santé et des services sociaux et en victimologie, Mélodie Jourdain-Michel. Le salon, dont l’inauguration a eu lieu en septembre 2015, sert de lieu de rencontre pour les étudiants autochtones. Selon Mélodie, il était essentiel qu’il y ait un lieu de partage et d’échange réservé à cette population étudiante. Un espace dont l’importance est cruciale pour les nouveaux venus à l’université. « Souvent, ils ont décroché, puis ils sont retournés au cégep, ils ont eu des enfants, et quand ils arrivent ici, ils doivent concilier le travail, la famille et les études », spécifie-t-elle. Le salon Uatik propose des ressources adaptées, tel qu’un service de soutien psychoculturel et d’aide en français. L’instigatrice et directrice du programme en études autochtones, Marie-Pierre Bousquet, considère qu’il y a toujours eu un intérêt pour les questions autochtones chez les étudiants. « Beaucoup auraient aimé en savoir plus, mais ne savaient pas où aller, ne savaient pas où chercher », nuance-t-elle. La venue du nouveau programme d’études a généré un enthousiasme, ressenti aussi en dehors du campus. « Depuis sa création, on a une augmentation du nombre d’étudiants autochtones qui s’intéressent à l’Université », indique-t-elle. La doctorante en anthropologie et organisatrice de la semaine autochtone de l’UdeM Mitig, Laurence Hamel-Charest constate que le public attiré par la mineure et le module sur les études autochtones offerts au Département d’anthropologie est majoritairement constitué d’étudiants qui ont déjà un intérêt pour ce domaine. « Ultimement, on aimerait que ça touche plus largement d’autres étudiants », s
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Quartier Libre |
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Article (FR) |
Mitig : semaine autochtone de l’UdeM |
C’est avec un grand plaisir que nous vous présentons la programmation de la deuxième édition de Mitig, la semaine autochtone de l’UdeM qui se déroulera sur le campus du 19 au 22 septembre prochain.... En savoir plus
C’est avec un grand plaisir que nous vous présentons la programmation de la deuxième édition de Mitig, la semaine autochtone de l’UdeM qui se déroulera sur le campus du 19 au 22 septembre prochain. Nous avons l’honneur d’accueillir le shaputuan de l’Institut Tshakapesh. Une foule d’activités (conférences, ateliers, souper traditionnel, spectacle de musique, etc.) vous permettront de découvrir la culture innue. Les activités sont gratuites et ouvertes à tous.
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cercleok8api |
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Article (FR) |
Pour que les Autochtones prennent leur place à l’Université de Montréal |
En septembre 2015, un nouveau programme pluridisciplinaire a été officiellement mis sur pied à l’Université de Montréal : le programme en études autochtones, au premier cycle. D’où sort cette... En savoir plus
En septembre 2015, un nouveau programme pluridisciplinaire a été officiellement mis sur pied à l’Université de Montréal : le programme en études autochtones, au premier cycle. D’où sort cette offre de formation et à quels besoins étudiants répondra-t-elle ? Depuis des décennies, l’UdeM comptait dans son corps professoral des spécialistes de questions autochtones. Au départ restreintes à ses disciplines mères, principalement l’anthropologie et l’histoire, les études autochtones s’étaient étendues à une grande variété de domaines, y compris la biologie et la médecine dentaire. Si les réseaux de recherche permettaient à plusieurs professeurEs de travailler ensemble, leur collaboration ne s’étendait pas à l’enseignement. Il fallait donc remédier à cela. Mais en l’absence de tradition institutionnelle en la matière, il n’était pas facile de déterminer quels étaient les besoins et quels types d’étudiantEs étaient susceptibles d’être intéresséEs au programme
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Marie-Pierre Bousquet |
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Vidéos |
L'UQAT et les Premiers Peuples |
Présentation des services offerts par l'UQAT aux étudiants autochtones.
Présentation des services offerts par l'UQAT aux étudiants autochtones.
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Service Premiers Peuples de l'UQAT |
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Article (FR) |
L'UQAT crée son École d'études autochtones |
Selon le professeur-chercheur à l'UQAT et directeur de l'École d'études autochtones, Hugo Asselin, ce nouveau département amène un nouvel apport à l'Université. « Vu qu'on n'avait pas des structures... En savoir plus
Selon le professeur-chercheur à l'UQAT et directeur de l'École d'études autochtones, Hugo Asselin, ce nouveau département amène un nouvel apport à l'Université. « Vu qu'on n'avait pas des structures académiques formelles, donc un département pour parler clairement, on était limité dans l'expansion qu'on pouvait donner à ce qu'on fait en collaboration avec les Autochtones. Donc par exemple, c'était impossible de créer un programme de baccalauréat. Donc on avait déjà de très bons programmes, des microprogrammes, des certificats, des choses comme ça, mais pas de baccalauréat par exemple. Si on n'avait pas de BAC, et bien on n'avait pas de maîtrise non plus ni de doctorat », explique-t-il. Hugo Asselin estime qu'éventuellement, l'UQAT se dotera de ces différents programmes. La nouvelle École d'études autochtones s'adresse aux Autochtones et aux non-Autochtones qui s'intéressent aux réalités et enjeux des premiers peuples.
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ICI Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
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Article (FR) |
5 M$ pour le pavillon des Premiers-Peuples du campus de Val-d'Or de l'UQAT |
Après une annonce conjointe avec le gouvernement du Québec, jeudi matin, d'un investissement de 5 millions de dollars pour l'agrandissement du pavillon des Premiers Peuples à Val-d'Or, la ministre fédérale... En savoir plus
Après une annonce conjointe avec le gouvernement du Québec, jeudi matin, d'un investissement de 5 millions de dollars pour l'agrandissement du pavillon des Premiers Peuples à Val-d'Or, la ministre fédérale des Affaires autochtones et du Nord, Carolyn Bennett, a officialisé d'autres annonces dans les communautés autochtones de Lac-Simon et de Pikogan.
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ICI Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
URL |
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Article (FR) |
Le Cégep de Trois-Rivières rencontre le Conseil en Éducation des Premières Nations |
Lundi 1er février se tenait à Québec une rencontre rassemblant tous les intervenants en éducation des nations autochtones dans le cadre d’une session de travail sur les projets d’entente entre... En savoir plus
Lundi 1er février se tenait à Québec une rencontre rassemblant tous les intervenants en éducation des nations autochtones dans le cadre d’une session de travail sur les projets d’entente entre les communautés autochtones et les différentes institutions scolaires de la province. Le Cégep de Trois-Rivières était invité afin de partager son expérience en lien avec l’entente de partenariat qui lie actuellement le cégep et trois communautés de la nation atikamekw (Manawan, Wémontaci et Opitciwan), et ce, depuis plus de deux ans.
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Cégep de Trois-Rivières |
Quebec |
URL |
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Article (FR) |
Nouvelle ressource pour les communautés autochtones à Trois-Rivières |
Le Cégep de Trois-Rivières, les services éducatifs de Wemotaci et les services éducatifs de Manawan ont signé une entente de collaboration afin de favoriser l’intégration et l’adaptation à la... En savoir plus
Le Cégep de Trois-Rivières, les services éducatifs de Wemotaci et les services éducatifs de Manawan ont signé une entente de collaboration afin de favoriser l’intégration et l’adaptation à la vie étudiante et à la vie urbaine des élèves atikamekws loin de leur communauté. Ce partenariat a été conclu dans le cadre du Programme des partenariats en éducation (PPE). Les autres partenaires du PPE sont la Commission scolaire des Samares, l’Institut Kiuna, le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière, le Conseil de la nation atikamekw et la Commission locale des Premières Nations à Manawan.
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Cégep de Trois-Rivières. |
Quebec |
URL |
Communauté, Postsecondaire, Culture |
Ressources pédagogiques |
Guide d’intervention institutionnelle, Cégep de Baie-Comeau |
En 2014, le Cégep de Baie-Comeau, en collaboration avec le Centre des Premières Nations Nikanite de l’Université du Québec à Chicoutimi, et avec l’appui et l’implication du Centre local... En savoir plus
En 2014, le Cégep de Baie-Comeau, en collaboration avec le Centre des Premières Nations Nikanite de l’Université du Québec à Chicoutimi, et avec l’appui et l’implication du Centre local d’emploi et de formation de la communauté de Pessamit, lançait son Guide d’intervention institutionnelle, un guide permettant de soutenir le personnel enseignant et le personnel professionnel du Cégep dans ses actions auprès des étudiants autochtones. Ce guide permet un soutien adéquat pour les jeunes innus qui étudient au Cégep afin de favoriser leur réussite scolaire au collégial et lors de la poursuite de leurs études à l’université. Le but de ce projet était d’abord qu’il y ait une sensibilisation culturelle des intervenants du Cégep face aux réalités des étudiants autochtones afin de permettre une adaptation des pratiques pédagogiques, des stratégies d’apprentissage et d’encadrement à leurs réalités qui rejoignent leur culture, leurs valeurs et leurs préoccupations.
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Cégep de Baie-Comeau |
Quebec |
URL |
Innu, Apprentissage, Soutien, Culture |
Programme/École |
Services aux étudiants autochtiones |
Notre collège offre aux étudiants autochtones des services personnalisés, respectueux de leurs réalités et de leurs besoins. N’hésitez pas à consulter l’une de nos ressources qui ont à cœur... En savoir plus
Notre collège offre aux étudiants autochtones des services personnalisés, respectueux de leurs réalités et de leurs besoins. N’hésitez pas à consulter l’une de nos ressources qui ont à cœur votre bonheur et votre réussite en nos murs!
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Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
URL |
Post-Secondaire |
Programme/École |
Programmes étudiants autochtones, Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue |
En plus d’avoir des services adaptés aux réalités des étudiants des Premières Nations qui poursuivent leurs études sur les campus de Val- d’Or, d’Amos ou de Rouyn-Noranda, le Cégep... En savoir plus
En plus d’avoir des services adaptés aux réalités des étudiants des Premières Nations qui poursuivent leurs études sur les campus de Val- d’Or, d’Amos ou de Rouyn-Noranda, le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue offre diverses formations sur mesure et programmes courts dans les communautés autochtones comme : programme de session d’accueil et intégration - Premières Nations, Attestation d’étude collégiale (AEC) en comptabilité pour les Premières Nations et les Inuit, l’AEC Éducation spécialisée et contextes autochtones, l’AEC Éducatrice/ Éducateur en services à l’enfance autochtone, l’AEC Gestion des organisations pour les Premières Nations et les Inuit, l’AEC Gestion pour les Premières Nations et les Inuit, l’AEC Marketing et service à la clientèle pour les Premières Nations et les Inuit, l’AEC Représentant(e)en santé communautaire ainsi que l’AEC Travail administratif pour les Premières Nations et les Inuit. Ces programmes sont notamment adaptés aux réalités des étudiants des Premières Nations et Inuit, mais ils également sont créés afin que les diplômés puissent devenir des acteurs positifs dans leur communauté.
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Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
URL |
Post-Secondaire, Inuit, Santé-Bien-être |
Programme/École |
Service premiers peuples |
L’équipe du Service Premiers Peuples (SPP) offre un soutien personnalisé à l’ensemble des étudiants du campus de Val-d’Or, mais a aussi développé une expertise qui permet de répondre aux besoins... En savoir plus
L’équipe du Service Premiers Peuples (SPP) offre un soutien personnalisé à l’ensemble des étudiants du campus de Val-d’Or, mais a aussi développé une expertise qui permet de répondre aux besoins spécifiques des étudiants autochtones, que ce soit au plan scolaire, personnel ou culturel. Le SPP offre un accueil personnalisé en français et en anglais ainsi que de l’accompagnement pédagogique modulé selon les besoins des étudiants autochtones qui, dans plusieurs cas, effectuent un retour aux études.
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Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
URL |
Soutien, Accompagnment, scolaire |
Organisation/Centre (FR) |
Unité de recherche, de formation et de développement en éducation en milieu inuit et amérindien (URFDEMIA), Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue |
L’Unité de recherche, de formation et de développement en éducation en milieu inuit et amérindien (URFDEMIA) fut créée en 1990 par l’unité d’enseignement et de recherche en sciences... En savoir plus
L’Unité de recherche, de formation et de développement en éducation en milieu inuit et amérindien (URFDEMIA) fut créée en 1990 par l’unité d’enseignement et de recherche en sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). La création de cette unité découle également d’un partenariat entre l’UQAT ainsi que les communautés de Puvirnituq et Ivujivik. Depuis sa création, l’URFDEMIA soutient de nombreux projets de prise en charge de l’éducation dans les communautés des Premières Nations et des Inuit. Travaillant en collaboration avec les représentants des écoles de Puvirnituq et d’Ivujivik ainsi qu’avec la Commission scolaire Kativik, l’URFDEMIA soutient la formation professionnelle des enseignants inuit de ces deux communautés.
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Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue |
Quebec |
URL |
Développement, Education, Formation, Inuit |
Programme/École |
Leadership, vie saine, musique et littératie, Voyageur Memorial School, Wiinibekuu School, Waapihtiwewan School et Fusion jeunesse |
Le programme Leadership, vie saine, musique et littératie, a été développé, puis implanté dans les écoles Voyageur Memorial School, Wiinibekuu School, Waapihtiwewan School, par Fusion jeunesse.... En savoir plus
Le programme Leadership, vie saine, musique et littératie, a été développé, puis implanté dans les écoles Voyageur Memorial School, Wiinibekuu School, Waapihtiwewan School, par Fusion jeunesse. Ce programme touche les élèves du primaire et du secondaire. Il prend la forme de trois différents projets qui visent le leadership et l’engagement des étudiants par la participation à diverses activités. Celles-ci sont centrées autour des arts et médias, de la musique et du sport. À travers ces activités, les élèves peuvent développer leurs capacités artistiques, d’expression et de travail en équipe. De plus, par ces activités, les jeunes peuvent développer leur estime personnelle ainsi que leur sentiment d’appartenance à leur école, ce qui représente une motivation supplémentaire à la poursuite des études de ces jeunes. Expression libre, débats d'actualité, discussions philosophiques ou à propos d’une œuvre d’art… idAction est une boîte à outil du citoyen et de la citoyenne qui vise à mieux comprendre la société en se dotant d'outils pour formuler nos pensées.
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Commission scolaire René-Lévesque |
Quebec |
URL |
Primaire, Secondaire, Leadership, Art-Performance |
Organisation/Centre (FR) |
Execo |
Exeko est un organisme d’innovation sociale, basé à Montréal depuis 2006. Nous utilisons la créativité intellectuelle et artistique au service d’une transformation sociale inclusive et émancipatrice.... En savoir plus
Exeko est un organisme d’innovation sociale, basé à Montréal depuis 2006. Nous utilisons la créativité intellectuelle et artistique au service d’une transformation sociale inclusive et émancipatrice. Notre approche reconnaît avant tout le potentiel de chacun et chacune à réfléchir, analyser, agir, créer et être partie prenante de la société, quels que soient sa situation ou son parcours : nous présumons l’égalité des intelligences. Nous employons à la fois des approches pratiques de médiation intellectuelle et culturelle, et des approches systémiques inspirées de l’innovation sociale, comme moteurs de transformation sociale, afin d’agir positivement sur la société, individuellement et collectivement : émancipation intellectuelle, prévention de l'exclusion (itinérance, crime, suicide, toxicomanie), participation citoyenne et culturelle, inter-reconnaissance, renforcement identitaire, persévérance scolaire, etc.
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Exeko |
Quebec |
URL |
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Organisation/Centre (FR) |
IdAction, Exeko |
Depuis sa création en 2006, Exeko, un organisme d’innovation sociale, favorise des pratiques telles que la médiation intellectuelle et culturelle ainsi que des approches systémiques pour créer... En savoir plus
Depuis sa création en 2006, Exeko, un organisme d’innovation sociale, favorise des pratiques telles que la médiation intellectuelle et culturelle ainsi que des approches systémiques pour créer une transformation sociale. IdAction est un programme de l’organisme qui est destiné aux personnes à risque, vivant ou ayant vécu en situation d’exclusion. Les actions de ce programme prennent notamment place auprès des communautés autochtones. IdAction prône l’inclusion sociale qui passe par le développement de l’esprit critique et l’analyse de la société. Il s’agit d’un programme réflexif qui concerne trois grands axes, soit l’analyse sociale, la participation citoyenne et le développement de la pensée critique et qui propose plus de 150 ateliers se subdivisant selon ces derniers. Les ateliers prennent trois formes : la pratique, la vulgarisation et le film. Tous sont basés sur le principe de la méditation intellectuelle. Programme de développement de l'esprit critique et de participation citoyenne destié aux personnes à risque, vivant ou ayant vécu une situation d'exclusion.
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Exeko |
Quebec |
URL |
Inclusion, sociale, Société |
Rapport |
Sur les traces des Pekuakamiulnuatsh |
Ce guide pédagogique a été réalisé dans le but de sensibiliser vos élèves aux nombreuses contributions des Montagnais du Lac-Saint-Jean. Par les activités proposées, vous découvrirez... En savoir plus
Ce guide pédagogique a été réalisé dans le but de sensibiliser vos élèves aux nombreuses contributions des Montagnais du Lac-Saint-Jean. Par les activités proposées, vous découvrirez une nation extraordinaire dont l’histoire saura faire évoluer la conception qu’ont vos élèves des autochtones. Ce document pourrait même être l’amorce d’une étude plus approfondie sur d’autres Premières Nations du Canada et du monde.
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Société de Développement Économique Ilnu |
Quebec |
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Primaire, Secondaire, Art, Culture |
Journal (FR) |
Revue de la persévérance et de la réussite scolaires chez les premiers peuples |
En mars 2014, le Centre des Premières Nations Nika- nite (CPNN) de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), appuyé par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur... En savoir plus
En mars 2014, le Centre des Premières Nations Nika- nite (CPNN) de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), appuyé par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES), lançait la pre- mière édition de son Colloque sur la persévérance et la réussite scolaires chez les Premiers Peuples, qui visait à faire l’état d’avancement des savoirs et des expériences dans le domaine. Plus de 200 personnes ont participé à ce colloque au cours duquel plu- sieurs chercheurs, enseignants, intervenants et ges- tionnaires ont présenté des projets particuliers, des résultats de recherche ou des réflexions appuyées sur une expérience riche et variée. Une quarantaine d’entre eux ont par la suite publié un article relatant les grandes lignes de leur communication et ces ar- ticles ont été rassemblés pour constituer l’essentiel du premier volume de la Revue de la persévérance et de la réussite scolaires chez les Premiers Peuples, publié en janvier 2015.
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Centre des Premières Nations Nikanite |
Quebec |
URL |
Culture, Langue, Écriture, Valorisation |
Rapport |
Évaluation quinquennale 2009 à 2014 des services éducatifs de Pekuakamiulnuatsh Takuhikan |
L’éducation est au cœur de toute communauté, car c’est à travers les institutions scolaires que nous préparons la relève de demain. De plus, les Premières Nations considèrent que l’éducation... En savoir plus
L’éducation est au cœur de toute communauté, car c’est à travers les institutions scolaires que nous préparons la relève de demain. De plus, les Premières Nations considèrent que l’éducation est le projet d’une vie entière et qu’elle devrait contribuer au mieux vivre-ensemble de tous les êtres humains.Consciente de l’importance de l’éducation, Pekuakamiulnuatsh Takuhikan, l’organisation politique et administrative responsable des services éducatifs de Mashteuiatsh, a implanté dans sa communauté deux écoles offrant le Programme de formation de l’école québécoise, tout en y ajoutant ses propres couleurs afin d’assurer la pérennité de la culture des Pekuakamiulnuatsh. Ces écoles offrent la possibilité aux enfants de Mashteuiatsh de devenir des participants actifs de la transformation de leur communauté, tout en étant de surcroit des agents multiplicateurs de cette richesse culturelle.Pekuakamiulnuatsh Takuhikan a confié à Mastera le mandat de réaliser l’évaluation quinquennale (2009- 2014) des écoles Amishk et Kassinu Mamu. La démarche a comme but de favoriser le renforcement et l’amélioration de programmes et des services en éducation offerts, tout en se préoccupant de la rétention des inscrits et de la persévérance scolaire des jeunes.Ce document présente les grands constats de la démarche évaluative. La première partie dresse un bref portrait des écoles de Mashteuiatsh et présente la méthodologie utilisée pour recueillir les données. La seconde partie expose les résultats pour chacun des aspects abordés : la réussite scolaire, l’évaluation des apprentissages, la qualité de l’enseignement et l’implantation du curriculum et le soutien aux apprentissages et les services professionnels des écoles Amishk et Kassinu Mamu. Enfin, la dernière partie est un plan d’action ciblant des objectifs précis dans le but de favoriser une démarche d’amélioration.
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Bisson, M. et Thivierge, J. |
Quebec |
URL |
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Organisation/Centre (FR) |
Téléservice en orthophonie, Clinique interdisciplinaire pour la communication S.E.N.C. |
La Clinique interdisciplinaire pour la communication S.E.N.C. offre plusieurs services adaptés aux besoins des communautés autochtones. La Clinique a pour objectif de prévenir et de traiter les difficultés... En savoir plus
La Clinique interdisciplinaire pour la communication S.E.N.C. offre plusieurs services adaptés aux besoins des communautés autochtones. La Clinique a pour objectif de prévenir et de traiter les difficultés d’apprentissage liées au langage dans différentes communautés autochtones. CLIC travail en collaboration avec différents acteurs de la vie des jeunes autochtones touchés par des difficultés d’apprentissage liées au langage, dont les parents ainsi que les enseignants et les éducateurs. L'activité se déroule grâce au programme de sensibilisation et de rencontres Québécois-Autochtones Sous le Shaputuan, de l'Institut Tshakapesh et de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.
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Clinique interdisciplinaire pour la communication |
Quebec |
URL |
Commaunuté, Language |
Programme/École |
Réussite autochtone, École Bois-Vivant |
Le programme Réussite autochtone a été mis en place en 2011 à l’École Bois-Vivant à New Richmond. Il s’adresse plus précisément à la nation Micmacs. Il s’agit d’un programme de... En savoir plus
Le programme Réussite autochtone a été mis en place en 2011 à l’École Bois-Vivant à New Richmond. Il s’adresse plus précisément à la nation Micmacs. Il s’agit d’un programme de soutien familial à la réussite scolaire. De plus, le programme permet d’assurer une bonne compréhension de la culture autochtone par le personnel scolaire.Depuis sa création, le programme contribue à l’augmentation des ressources au service de garde de l’école, notamment à travers un programme d’éveil à la lecture et à l’écriture et un service d’aide aux devoirs. Également, des livres en anglais portant sur les cultures autochtones ont été achetés pour les élèves de l’École Bois-Vivant.
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Commission scolaire René-Lévesque |
Quebec |
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Famille, Communauté, Culture |
Ressources pédagogiques |
Nametau Innu: Mémoire et connaissance du Nitassinan |
Depuis 1995, à l’instigation de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ), l’Institut culturel et éducatif montagnais (ICEM) - aujourd'hui connu sous le nom d'Institut... En savoir plus
Depuis 1995, à l’instigation de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ), l’Institut culturel et éducatif montagnais (ICEM) - aujourd'hui connu sous le nom d'Institut Tshakapesh - tient des rencontres à travers le réseau scolaire du Québec, dont un des grands objectifs est de présenter la culture innue.
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Musée régional de la Côte-Nord |
Quebec |
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Culture |
Livres/Publications |
Catalogue en ligne des publications de l'Institut Tshkapesh |
Catalogue en ligne-Online catalog.
Catalogue en ligne-Online catalog.
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Institut Tshakapesh |
Quebec |
URL |
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Rapport |
Sous le shaputan |
La rencontre Québécois-AutochtonesPermettre aux participants de s’initier à la du programme : réalité autochtone par une prise de contact avec des représentants de l’une des nationsautochtones... En savoir plus
La rencontre Québécois-AutochtonesPermettre aux participants de s’initier à la du programme : réalité autochtone par une prise de contact avec des représentants de l’une des nationsautochtones du Québec, la nation innue.- Amener les participants à connaître certaines caractéristiques historiqueset contemporaines d’une nation autochtone.- Proposer aux participants une expérience de vie, selon les principes de la pédagogie autochtone : vivre, sentir, goûterla culture innue.- développer une vision positive, et en même temps réaliste, de l’univers autochtone d’hier et d’aujourd’hui.- Amener les jeunes à faire preuve d’ouverture face aux différences culturelles.- combattre les préjugés et amener les jeunes à exercer un sens critique face aux idéesvéhiculées au sujet des Autochtones.- Favoriser, à plus long terme, un rapprochement entre les Québécois et les Autochtones.- Faire bénéficier les enseignants d’une pédagogie vivante et d’une expérience exceptionnelle avec leurs élèves.- offrir aux jeunes autochtones une meilleure connaissance de leur culture.
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Institut Tshakapesh |
Quebec |
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Ressources: langues |
Innu-aimun Ressources de langue |
Innu language dictionary
Innu language dictionary
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Institut Tshakapesh |
Quebec |
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Article (FR) |
Un shaputuan pour comprendre la réalité autochtone |
Une grande tente traditionnelle autochtone, appelée Shaputuan, a été érigée sur le terrain du Cégep de Chicoutimi dans le cadre de la Semaine interculturelle.
Une grande tente traditionnelle autochtone, appelée Shaputuan, a été érigée sur le terrain du Cégep de Chicoutimi dans le cadre de la Semaine interculturelle.
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ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean |
Quebec |
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Culture, Racisme |
Organisation/Centre (FR) |
Institut Tshkapesh |
Fondé en 1978 par le Conseil atikamekw montagnais, cette organisation est d’abord connue sous le nom d’Institut éducatif culturel atikamekw montagnais, puis, suite au retrait de la nation atikamekw... En savoir plus
Fondé en 1978 par le Conseil atikamekw montagnais, cette organisation est d’abord connue sous le nom d’Institut éducatif culturel atikamekw montagnais, puis, suite au retrait de la nation atikamekw du projet, en tant que l’Institut culturel et éducatif montagnais. Devenu l’Institut Tshakapesh en 2010, il est aujourd’hui un organisme basé dans la communauté de Uashat oeuvrant à la préservation de la langue, la culture et l’éducation innues auprès de huit communautés de la Côte-Nord et de la Basse-Côte-Nord, soit Essipit, Pessamit, Uashat mak Mani-utenam, Matimekush/Lac-John, Ekuanishit, Nutashkuanit, Unaman-shipit et Pakut-Shipit. Ses programmes en éducation sont conçus de manière à soutenir la réussite scolaire des élèves innus, répondre aux besoins de soutien administratif ou pédagogique des écoles, offrir des services pédagogiques aux écoles et supporter les activités de formation et de perfectionnement du personnel. Ils se déploient dans différents domaines tels que le financement d’initiatives culturelles, l’engagement parental, la formation secondaire, l’histoire, la culture et les arts, les sciences et les technologies, l’orientation professionnelle, l’adaptation scolaire, l’expérience professionnelle étudiante, l’adaptation culturelle et linguistique de programmes, etc. L’institut Tshakapesh constitue un acteur de premier plan pour la préservation et l’enseignement de la langue à travers la production, la publication, la traduction et la vente de livres, matériel pédagogique, de dictionnaires et d’applications mobiles en innu. Il travaille également à l’élaboration de programmes d’enseignement et de formation culturellement adaptés et de documents sonores linguistiques en plus d’organiser annuellement la Pakunu ka Mashinaitshenanut ou dictée innue pour adultes à travers le Québec.
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Institut Tshakapesh |
Quebec |
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Communuauté, Primaire, Secondaire |
Article (FR) |
Les gouvernements du Canada et du Québec annoncent leur soutien à l’Institut Tshakapesh afin de favoriser la persévérance et la réussite scolaires des élèves innus. Gouvernement du Canada. Consulté à l’adresse |
Les gouvernements du Canada et du Québec sont résolus à travailler en partenariat avec les communautés et les organismes innus afin de favoriser la persévérance et la réussite scolaires des élèves... En savoir plus
Les gouvernements du Canada et du Québec sont résolus à travailler en partenariat avec les communautés et les organismes innus afin de favoriser la persévérance et la réussite scolaires des élèves innus et de valoriser la culture et la langue chez les jeunes Autochtones. Lors de leur participation à la cérémonie de collation de grades dans la communauté innue de Uashat mak Mani-Utenam, l’honorable Diane Lebouthillier, ministre du Revenu national, au nom de l'honorable Carolyn Bennett, ministre des Affaires autochtones et du Nord, et Geoffrey Kelley, ministre responsable des Affaires autochtones au gouvernement du Québec, ont annoncé un investissement de 185 000 $ pour la mise en œuvre d’une entente avec l’Institut Tshakapesh. Celle-ci permettra à quelque 1 800 élèves vivant dans sept communautés innues de la Côte-Nord du Québec de renforcer leur culture et leur langue. L’entente comprend un cadre de collaboration destiné à favoriser la persévérance et la réussite scolaires par la préservation, la promotion et la transmission de la culture et de la langue innues.
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Affaires autochtones et du Nord Canada Canada |
Quebec |
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Culture, Langue, Collaboration, Innue |
Ressources financières |
Nouveaux sentiers en éducation |
Le CEPN a plusieurs programmes en éducation. On retrouve, par exemple, le programme Diversification des parcours de formation au secondaire (DPFS) qui a pour objectif de « développer chez les jeunes... En savoir plus
Le CEPN a plusieurs programmes en éducation. On retrouve, par exemple, le programme Diversification des parcours de formation au secondaire (DPFS) qui a pour objectif de « développer chez les jeunes des compétences relatives à l’employabilité
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Conseil en éducation des Premières Nations |
Quebec |
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Secondaire, Compétences, Employabilité |
Organisation/Centre (FR) |
Conseil en éducation des Premières Nations |
Le Conseil en Éducation des Premières Nations (CEPN) représente l’association de Premières Nations et de communautés afin de prendre en charge les questions d’éducation auprès des communautés... En savoir plus
Le Conseil en Éducation des Premières Nations (CEPN) représente l’association de Premières Nations et de communautés afin de prendre en charge les questions d’éducation auprès des communautés autochtones du Québec. Le CEPN oeuvre à titre de représentant des communautés et de leurs intérêts. Le CEPN agit dans le but d’assurer une éducation de qualité pour les jeunes de toutes les communautés autochtones du Québec et souligne l’importance de considérer et respecter les particularités de chacune de ces communautés. Il contribue à ce que les peuples des Premières Nations deviennent les « maîtres d’oeuvre de leur éducation
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Conseil en éducation des Premières Nations |
Quebec |
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Communauté, Primaire, Secondaire |
Ressources: langues |
Ressources en langue innue |
Institut Tshakapesh Ressources en langue innue
Institut Tshakapesh Ressources en langue innue
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Institut Tshakapesh |
Quebec |
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Langue Innu |
Ressources: langues |
Aimun-Mashinaikan- Dictionnaire innu |
Online Dictionaire Innu
Online Dictionaire Innu
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Institut Tshakapesh |
Quebec |
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Dictionaire, Innu, Quebec |
Rapport |
Diversification des parcours de formation au secondaire (DPFS) - Lignes directrices |
Le CEPN a plusieurs programmes en éducation. On retrouve, par exemple, le programme Diversification des parcours de formation au secondaire (DPFS) qui a pour objectif de « de?velopper chez les jeunes... En savoir plus
Le CEPN a plusieurs programmes en éducation. On retrouve, par exemple, le programme Diversification des parcours de formation au secondaire (DPFS) qui a pour objectif de « de?velopper chez les jeunes des compe?tences relatives a? l’employabilite?
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Conseil en éducation des Premières Nations |
Quebec |
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