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The Only On-Campus Friendship Centre in Canada!

By understanding that Indigenous Education is rooted in the cultural traditions of Indigenous people GPRC provides numerous supports to help Indigenous students succeed. Fostering the only on-campus Friendship Centre in Canada with a full time Elder in Residence are clear indicators of that GPRC’s commitment to acting on this understanding to support its Indigenous students. […]

By understanding that Indigenous Education is rooted in the cultural traditions of Indigenous people GPRC provides numerous supports to help Indigenous students succeed. Fostering the only on-campus Friendship Centre in Canada with a full time Elder in Residence are clear indicators of that GPRC’s commitment to acting on this understanding to support its Indigenous students. GPRC also has the Circle of Indigenous Students which is a student elected executive body that works to carry the Indigenous student voice on campus. Its role is to ensure Indigenous culture is honored and celebrated on-campus. Support is not focused on the academic portion of student life. The role of the Indigenous Liaison Coordinator in the college is to provide social support services to Indigenous students to help move them toward success. Coordinator ensures Indigenous culture is included, celebrated and honored within the college. This is built upon solid relationships developed within the college and the community. The goal of the Circle of Indigenous Students on-campus is ensuring Indigenous students are immediately connected to the urban Indigenous community and that they have access to celebration and ceremony – this is a critical piece of striving for student success on and off campus.

AYARA – Northwestern Ontario Aboriginal Youth Achievement & Recognition Awards

An awards ceremony to acknowledge the Aboriginal Youth talents and accomplishments in Northwestern Ontario.

An awards ceremony to acknowledge the Aboriginal Youth talents and accomplishments in hopes to encourage youth to persevere in their educational goals.

 »The Northwestern Ontario Aboriginal Youth Achievement and Recognition Awards was formally known as The Niigaantige Career Fair. It began in 1987 when a need was identified to address the high attrition rates among Aboriginal students studying at the secondary and post secondary levels. » from its website https://ayara.ca/

Native Access Program

The Native Access Program is a nine-month transition program for Indigenous students.

The Native Access Program is a nine-month transition program designed to provide Indigenous students with the academic skill necessary for the successful completion of an undergraduate degree.

 »Our Native Access Program is intended for students of Aboriginal ancestry who have not met the regular or mature university entry requirements, or who require academic preparation to become eligible for admission to a Lakehead University program. 

Our innovative programming honours and celebrates Aboriginal heritage while providing culturally appropriate support services. Academic counselling and tutoring is also available, contributing to an environment conducive to success and support.

Over nine months you will complete core courses in English, Study Skills, Indigenous Learning, Mathematics and Science.  » from its website.

https://www.lakeheadu.ca/programs/other-programs/aboriginal-programs/native-access-program

Superintendent of Schools for School District 60: Peace River North

The following is an interview with Dave Sloan, the superintendent of schools for School District 60: Peace River North. Mr. Sloan has 30+ years of experience in the field of education and spent over 5 years working at a school in Bella Coola as both a teacher and administrator. https://www.prn.bc.ca/?p=1615 https://www.prn.bc.ca/

The following is an interview with Dave Sloan, the superintendent of schools for School District 60: Peace River North. Mr. Sloan has 30+ years of experience in the field of education and spent over 5 years working at a school in Bella Coola as both a teacher and administrator.

https://www.prn.bc.ca/?p=1615

https://www.prn.bc.ca/

Institution Kiuna

Le mot ‘Kiuna’ [ou kiona] signifie ‘à nous’, ou ‘la nôtre’ en langue abénaquise (Hannis, 2014 dans Dufour 2015). Depuis son ouverture en 2011 dans la communauté abénaquise d’Odanak, l’Institution Kiuna constitue le seul établissement postsecondaire conçu par et pour les Premières Nations du Québec. Depuis lors, l’établissement a traité près de quatre cents demandes […]

Le mot ‘Kiuna’ [ou kiona] signifie ‘à nous’, ou ‘la nôtre’ en langue abénaquise (Hannis, 2014 dans Dufour 2015). Depuis son ouverture en 2011 dans la communauté abénaquise d’Odanak, l’Institution Kiuna constitue le seul établissement postsecondaire conçu par et pour les Premières Nations du Québec. Depuis lors, l’établissement a traité près de quatre cents demandes d’admission et accueilli plus de 275 étudiants, toutes nations confondues (principalement mohawk, atikamekw et innue, mais également huronne-wendate, abénaquise, crie, malécite et autres), issus de 24 communautés et 10 villes du territoire du Québec, en plus de trois étudiants originaires d’autres provinces et pays (Hannis, 2017). L’initiative résulte du travail de concertation entre le Conseil en éducation des Premières Nations (CEPN) -qui en assure la direction générale-, l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador (APNQL) et ses communautés membres. Elle a officiellement été adoptée lors du Forum socioéconomique de Mashteuiatsh de 2006 suite à l’engagement formel des gouvernements provincial et fédéral (Dufour, 2015b; Hannis, 2017). Jusqu’à l’atteinte éventuelle de sa pleine autonomie administrative prévue pour 2021, il s’inscrit comme un centre d’études collégiales bilingue affilié au cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et le Collège Dawson. Ses programmes novateurs sont officiellement reconnus par le Ministère de l’Éducation et des Études supérieures (MEES). L’Institution Kiuna constitue un modèle exclusif au Québec puisqu’il présente une adaptation culturelle non seulement des services d’accueil et de soutien pour ses étudiants issus à plus de 90% des communautés autochtones, mais également de ses curriculums pédagogiques, activités parascolaires, accompagnement psychosocial et milieu de vie. La sécurité culturelle s’avère ainsi transversale à tous les éléments de son projet pédagogique qui vise non seulement à favoriser la persévérance et la diplomation postsecondaires de ses étudiants, mais également à promouvoir la fierté culturelle et l’enracinement identitaire (Dufour, 2015). Son approche vise à promouvoir les identités ainsi que les patrimoines culturels, l’innovation et l’ouverture à l’autre (Kiuna, s.d.). Si l’Institution Kiuna offre un cadre postsecondaire spécifiquement adapté aux besoins des étudiants de Premières Nations, il est également ouvert aux étudiants allochtones et vise à favoriser la rencontre ainsi que les échanges réciproquement bénéfiques avec la société majoritaire. Son équipe de professionnels compte 28 employés autochtones et allochtones et est dirigée par une administration composée de membres des Premières Nations (Hannis, 2017). En 2015, près de la moitié du corps enseignant s’identifiait comme Premières Nations (Dufour, 2015). Les installations actuelles de Kiuna présentent notamment six salles de classe, un complexe de résidences étudiantes (prévoyant également des appartements familiaux pour accueillir les étudiants-parents et leurs enfants), une petite bibliothèque, un parc informatique, une salle communautaire, un système de téléconférence et un studio de radio (Dufour, 2015). Un extérieur gazonné comportant un tipi, un shaputuan d’écorce, une tente prospecteur et un rond de feu sert également de terrain culturel pour l’organisation d’activités traditionnelles et culturelles, mais également pour la dispense de certains cours (ex. arts et anthropologie). Des invités autochtones et des aînés issus des communautés sont fréquemment invités à venir animer des ateliers ou échanger avec les étudiants. Étant donné la petite taille de l’institution, les étudiants bénéficient également d’un encadrement individualisé et d’une offre de services diversifiée, bien que culturellement sécuritaire. Le suivi psychosocial s’inscrit dans une approche pédagogique concertée et adaptée aux besoins de chacun (Hannis, 2017). Au sein de cette approche, la réussite éducative ne se limite pas à de simples évaluations méritocratiques, mais intègre également le développement psychosocial et la progression individuelle (Dufour, 2015). Un important travail est donc opéré pour favoriser le travail de contextualisation historique, la revitalisation culturelle, mais également la confiance individuelle des étudiants dans le but d’atténuer les stigmates idéologiques et destructeurs infligés sur le plan intergénérationnel par les violences assimilatrices de l’histoire coloniale (Dufour, 2015b; Hannis, 2017). À son programme principal de Sciences humaines- Premières Nations, s’ajoutera, dès 2018, un nouveau diplôme d’étude collégial en Arts, lettres, communication profil langues des Premières Nations ainsi que le nouveau programme Techniques de communication dans les médias, option Journalisme- Premières Nations dès l’automne de la même année en collaboration avec le Cégep de Jonquière. L’institution Kiuna offre également des programmes menant à des attestations d’études collégiales qui répondent aux besoins ponctuels des communautés (ex. éducation spécialisée et contextes autochtones, Comptabilité pour les Premières Nations et les Inuit, etc.) ainsi que le programme Tremplin DEC Premières Nations (Ibid.). Depuis 2017, un partenariat établi entre le Centre de développement et de formation de la main-d’oeuvre huronne-wendate (CDFM) de Wendake permet à l’Institution d’accueillir des étudiants du secteur secondaire adulte venus compléter au maximum 10 unités pour l’obtention de leur diplôme d’études secondaires (DEP) afin de faciliter leur passage au niveau collégial (Ibid.). À l’automne 2017, l’Institution cumulait une moyenne de 77,5% de rétention de ses étudiants, tous programmes confondus. Depuis 2013, plus de soixante-seize diplômes collégiaux ont complété leurs études à l’Institution Kiuna (Ibid.). La presque totalité (90%) des diplômés en Sciences humaines-Premières Nations a fait le choix de poursuivre leurs études au niveau universitaire. Bien que s’inscrivant dans une certaine continuité culturelle qui prône l’établissement de ponts historiques entre la tradition et la modernité, Kiuna souhaite favoriser l’innovation et l’actualisation des cultures des Premières Nations. L’histoire de la création de l’Institution Kiuna s’inscrit d’ailleurs en ligne directe avec l’expérience du Collège Manitou de La Macaza (1973-1976), l’un des premiers établissements postsecondaires par et pour les étudiants autochtones du Canada (Dufour, 2017). Tout comme son prédécesseur, l’Institut Kiuna souhaite favoriser l’émergence d’un nouveau leadership autochtone capable de tracer la voie vers une éventuelle autodétermination des peuples.

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RÉFÉRENCES

Arriola, J.-T., & Hannis, P. (2016). L’intégration des services psychosociaux au soutien pédagogique comme outil de persévérance scolaire chez les Premières Nations: La pratique de l’Institution Kiuna. Revue de la persévérance et de la réussite scolaires chez les Premiers Peuples, 2, 66 69. Consulté à l’adresse http://colloques.uqac.ca/prscpp/files/2016/11/jtarriola.pdf

Arriola, J.-T., & Hannis, P. (2016). Integration of Psychosocial Services to Educational Support as Retention Tool for First Nations: The Practice of Kiuna Institute. Journal of Perseverance and Academic Achievement for First Peoples volume 2, 2, 66 69. Consulté à l’adresse http://colloques.uqac.ca/prscpp/files/2016/11/jtarriolaA.pdf

Conseil en éducation des Premières Nations/ First Nations Education Council (CPEN/FNEC). (2015). Unique Learning Environment of Kiuna Institution. Consulté à l’adresse https://vimeo.com/145662493

Conseil en éducation des Premières Nations/ First Nations Education Council (CPEN/FNEC). (2015). Cadre d’apprentissage unique de l’Institution Kiuna, Consulté à l’adresse https://vimeo.com/145662308

Dufour, E. (2015a). La sécurité culturelle en tant que moteur de réussite postsecondaire: Enquête auprès d’étudiants autochtones de l’Institution Kiuna et des espaces adaptés au sein des établissements allochtones (Mémoire en anthropologie). Université de Montréal, Montréal. Consulté à l’adresse http://colloques.uqac.ca/prscpp/files/2016/11/edufour.pdf

Dufour, E. (2015b). « Une école où tu réapprends à être fier de ce que tu es… »: L’Institution Kiuna et le programme Sciences humaines – Premières Nations. Recherches amérindiennes au Québec, 45(2 3), 163 176. http://www.emanuelledufour.com/uploads/1/1/0/8/110898763/kiuna-_raq.pdf Translated to English by Mikayla Cartwright: http://www.emanuelledufour.com/uploads/1/1/0/8/110898763/kiuna._english._edufour.cartwright.pdf

Dufour, E. (2016). Cultural Security in Post-Secondary Education: The Case of the Kiuna Institution. Journal of Perseverance and Academic Achievement for First Peoples, 2, 70 73. Consulté à l’adresse http://colloques.uqac.ca/prscpp/files/2016/11/edufourA.pdf

Dufour, E. (2017). Du Collège Manitou de La Macaza à l’Institution Kiuna d’Odanak: la genèse des établissements postsecondaires par et pour les Premières Nations au Québec. Revue d’histoire de l’Amérique française, 70(4), 5 33.

Gouvernement du Québec. (2017). Enregistrement vidéo du 2017-10-25: Prudence Hannis, Collège Kiuna. Consulté à l’adresse https://www.cerp.gouv.qc.ca/index.php… Kiuna College. (s.d.). Kiuna. Consulté à l’adresse http://kiuna-college.com/en/

Kiuna Institution. (2017). Annual Report 2016-2017. Consulté à l’adresse http://kiuna-college.com/en/wp-content/uploads/2017/12/annual-report-2016-2017-web.pdf

O’Bomsawin, A.-P. (2011, décembre). Kiuna. 8th Fire. CBC. Consulté à l’adresse http://www.cbc.ca/player/play/2199819068 Un avenir prometteur pour l’Institution Kiuna d’Odanak, seul cégep autochtone du Québec. (2016, septembre 5). Info. Radio-Canada. Consulté à l’adresse http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/801232/autochtones-college-cegep-ministere-education

Standing Tall Program

How an education program from New Zealand was adapted for use in two north end Winnipeg Schools to increase graduation rates and develop Métis identity.

The MMF’s vision for Standing Tall is to create, build and support healthy Métis families. The primary goal of this innovative community-based program is to have a positive impact on the self-esteem of Métis students while increasing participation of the Métis community in the public school system. It should be noted that this program was initiated by the Métis, yet it supports all students, especially Aboriginal students. The eight full time employees who work directly with program participants spend the majority of their time supporting students. They spend each day in the classroom, working alongside students, helping them succeed academically and socially. If students need support outside the classroom, they use the Cultural Learning Nest, a comfortable furnished room developed for the program.

http://www.louisrielinstitute.com/standing-tall-program.php

Interview with Jordan Brant at Onkwawenna Kentyohkwa

Erin Clancy speaks to Jordan Brant about the Onkwawenna Kentyohkwa program, a full time- adult immersion school in the Mohawk language

Interview with First Year Program instructor Jordan Brant at Onkwawenna Kentyohkwa, a full time- adult immersion school in the Mohawk language. Students enter the program as non-speakers and graduate the program as speakers over two full school years.

 »Onkwawenna Kentyohkwa (Our Language Society) is a community-based organization that teaches Kanyen’keha (the “Mohawk” language) to adults on the Six Nations Grand River Territory near Brantford, Ontario.

This is a full-time program that takes place over two school years. We began teaching in September, 1999. But we do not just teach language, we create speakers. » from https://onkwawenna.info/